Organisations internationales et multilatéralisme
La rhétorique sur la crise du multilatéralisme est fréquente. Les organisations internationales (ONU, OMC, etc.) n'en demeurent pas moins importantes, tandis que d'autres forums (G20, BRICS, etc.) s'affirment.
Sujets liés

La Chine et les normes techniques : enjeux géopolitiques
La Chine s’impose rapidement comme une puissance redoutable dans l’élaboration de normes techniques, transformant le paysage international de la normalisation et réintroduisant un élément de géopolitique dans ce que l’on considère trop souvent comme de simples processus techniques.
L'Europe en 2020
L’arrivée d’Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne et le renouvellement des postes-clés des institutions de l’Union européenne suffiront-ils pour donner un nouvel élan à l’Europe ?
Le monde est-il devenu fou ?
Thomas Gomart, directeur de l'Ifri et Nicole Gnesotto, professeur au CNAM, échangent sur les enjeux majeurs du monde d'aujourd'hui et les perspectives lors d'un débat à la Bibliothèque publique d'information dans le Centre Pompidou à Paris. Modérateur : Marc Hecker, directeur de spublications de l'Ifri. Première conférence dans le cadre du cycle "Le monde sur un fil" organisé en partenariat avec le Centre Pompidou.
2020 : le monde change ?
Thomas Gomart est directeur de l’Institut Français des Relations Internationales (IFRI), partenaire du Dessous des Cartes. Puisque nous entrons dans une nouvelle année géopolitique, il revient sur les grandes questions auxquelles les mois qui viennent apporteront des réponses : quelles seront les conséquences des élections américaines de l'automne 2020, fin de l'ère Trump ou second mandat ?
What Does It Mean to Be a European Defense Company Today?
De nombreux développements récents amènent à s'interroger sur la situation des industries de défense européennes.
Dix ans plus tard : réflexions sur les agendas de think tanks internationaux
Un panel avec Michael Fullilove, directeur du Lowy Institute (Australie), Rohinton P. Medhora, président du Centre for International Governance Innovation (Canada), Samir Saran, président du Observer Research Foundation (Inde), Patrycja Sasnal, directrice de recherche et chercheure principale pour le Moyen-Orient à l'Institut Polonais des Affaires Internationales (Pologne), et Carlos Ivan Simonsen Leal, président de la fondation Getulio Vargas (Brésil), modéré par Thomas Gomart, directeur de l'Ifri dans le cadre de la 12e conférence régionale du Council of Councils (CoC) qui s'est déroulée du 17 au 19 novembre 2019 à l'Ifri.
L’alliance nippo-américaine : le Japon reprend la main
Le Japon entretient avec la notion de puissance une relation complexe. Archipel, il inscrit dans sa Constitution de 1946 l’interdiction du maintien d’un potentiel de guerre, ce qui l’arrime durablement au camp occidental dont il a besoin pour assurer sa sécurité. Pourtant, la diplomatie japonaise a toujours réussi à jouir d’une relative autonomie, en partie grâce au miracle économique qu’a connu ce pays.
Quel rôle joueront les Think Tanks au cours de la prochaine décennie ? Vidéo
Un débat entre Thierry de Montbrial, président de l'Ifri et Richard N. Haass, président du Council on Foreign Relations (CFR), modéré par Sophie Pedder, chef du bureau de Paris, The Economist. Dans le cadre de la 12e conférence régionale du Council of Councils (CoC) qui s'est déroulée du 17 au 19 novembre 2019 à l'Ifri.
La position de l'Europe dans le nouvel ordre mondial
Thierry de Montbrial, président de l'Ifri, est l'invité de China Global Television Network (CGTN), en marge du Forum de Paris sur la Paix, novembre 2019. Il revient sur la position de l'Europe dans un monde dominé par la compétition chino-américaine. Il est interviewé par Yang RUI.

L'Asie du Sud-Est doit-elle choisir entre Pékin et Washington?
Alors que le sommet de l'Asean vient de s'achever à Bangkok, les pays membres maintiennent leur position d'équilibre diplomatique entre la Chine et les États-Unis – du moins pour le moment.
Espionnage de la NSA : peu de représailles sont à attendre de la part de Paris
La lutte contre le terrorisme a bon dos. Elle sert de prétexte au programme d'écoutes américain dont l'ampleur a suscité hier une protestation inédite des autorités françaises. Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a annoncé la convocation « immédiate » de l'ambassadeur des Etats-Unis à Paris après un article du « Monde » selon lequel la NSA (Agence nationale de sécurité) a effectué 2,3 millions d'interceptions par jour en France en décembre, avec des pointes à 7 millions.
Teatro diplomático de quem se espiona
O material jornalístico produzido pelo Estadão é protegido por lei. Para compartilhar este conteúdo, utilize o link:http://internacional.estadao.com.br/noticias/geral,teatro-diplomatico-de-quem-se-espiona,1088218O material jornalístico produzido pelo Estadão é protegido por lei. Para compartilhar este conteúdo, utilize o link:http://internacional.estadao.com.br/noticias/geral,teatro-diplomatico-de-quem-se-espiona,1088O protesto das autoridades francesas diante da espionagem da Agência de Segurança Nacional (NSA) faz parte da satisfação que precisam dar ao eleitorado francês. Para especialistas franceses em relações internacionais e em inteligência, as manifestações são pouco mais do que um teatro diplomatico.
Syrie : rebondissements diplomatiques
Comment les déclarations du G20, des pays européens et la proposition russe éloignent-elles la possible intervention militaire?
Syrie: les raisons de l'obstination de Poutine
A la veille du vote du Congrès américain sur une intervention militaire contre la Syrie, la Russie a encore une fois martelé son soutien au régime de Bachar el-Assad en marge de la réunion du G20 qui se clôturait vendredi 6 septembre à Saint-Pétersbourg. Vladimir Poutine a réitéré son rejet d’une offensive sans un mandat de l’Onu, faisant état, en parallèle, d'une «opinion» selon laquelle les vidéos d'enfants tués lors des bombardements chimiques seraient une «compilation réalisée par des bandits liés à al-Qaida» —un pied de nez à l’argument et aux preuves présentées par les Etats-Unis et la France pour justifier leur recours à la force en Syrie.
Syrie/G20: Y aura t-il une victoire diplomatique pour le président Poutine ?
Après une poignée de mains diplomatique entre le président Poutine et le président Obama, à l’arrivée de ce dernier à Saint-Pétersbourg hier, le G20 s’est ouvert dans un climat russo-américain plombé par le dossier syrien.
Syrie, Snowden, homophobie... à quoi joue Vladimir Poutine avant le G20?
À Saint-Pétersbourg, l'ambiance sera tendue pour la photo de famille du G20 qui s'ouvre ce jeudi 5 septembre. Les sorties du président russe ont effectivement le don d'irriter les autres pays, et en particulier les États-Unis, compte-tenu du lourd passif entre les deux nations. A tel point que Barack Obama a "sévi" début août: il a annulé sa rencontre avec Poutine, initialement prévue en marge du sommet. Du jamais vu depuis plusieurs dizaines d'années.
A quoi joue Poutine ?
A quoi joue Poutine?
Avec: La journaliste Russe Ioulia Kapoustina; Thomas Gomart, directeur du centre Russie à l'Ifri (Institut français des relations internationales); Alain Frachon, directeur éditorial du "Monde"; et Ksenia Bolchakova, correspondante d’Europe 1 en Russe.
La diplomatie russe à l'épreuve des tensions actuelles
Table ronde d'actualité internationale, en partenariat avec Libération: la diplomatie russe à l'épreuve des tensions actuelles. Nous allons parler ce matin de la diplomatie russe à l’épreuve ces derniers mois. D’abord sur le dossier syrien, mais aussi, plus récemment, avec l’affaire Snowden qui continue d’empoisonner les relations russo-américaines.
La diplomatie numérique
Les diplomates s'invitent sur les réseaux sociaux deux ans après le scandale WikiLeaks qui avait fait hurler les chancelleries. Qu'est-ce que cela change aux relations entre Etats? Peut-on parler de diplomatie numérique? Que reste-il des secrets d'Etats? On posera toutes ces questions à Thomas Gomart de l'Ifri.
De la diplomatie numérique
Depuis les « printemps arabes », la diplomatie numérique (digital diplomacy) est à la mode. De quoi s’agit-il au juste ? De la continuation de la diplomatie traditionnelle par d’autres moyens et/ou d’une rupture fondamentale dans le rapport séculaire entre États et sociétés ? En 2002, le Département d’État créait une taskforce sur l’eDiplomacy. Dix ans plus tard, la diplomatie numérique américaine est conduite par cent cinquante personnes à Washington, relayées par neuf cents personnes dans les missions à l’étranger, faisant ainsi des États-Unis le leader mondial de la diplomatie numérique. À l’échelle des réseaux diplomatiques traditionnels, cette capacité leur assure une avance durable. À l’échelle d’Internet, elle est, en revanche, limitée au regard des forces non étatiques en présence.
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L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.
