Le 1er mars 2024, les bureaux de vote de la République islamique d’Iran ont ouvert leurs portes aux Iraniens pour élire les 290 membres du Parlement, ainsi que les 88 membres de l'Assemblée des experts. Si les conservateurs renforceront vraisemblablement leur mainmise sur ces institutions, l’enjeu principal du scrutin est le taux de participation qui exprime la légitimité de la République islamique, de plus en plus contestée par des mouvements sociaux. Face à la crise économique, une part significative de la population risque de rester indifférente aux élections. En effet, le taux de participation avait atteint un point bas historique de 42,57% lors des élections législatives de 2020.
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Robert Litwak, du Wilson Center, était l’invité de l’Ifri le 22 avril 2015, pour un séminaire sur "Les Etats-Unis et les négociations nucléaires avec l'Iran". Dans cette vidéo, il analyse les différentes visions de l'Iran et de son régime qui sont aujourd'hui en compétition...
Robert Litwak, du Wilson Center, était l’invité de l’Ifri le 22 avril 2015, pour un séminaire sur "Les Etats-Unis et les négociations nucléaires avec l'Iran". Dans cette vidéo, il explique comment les Etats-Unis et l'Iran cherchent en réalité à régler des questions...
L’accord préliminaire conclu à Lausanne la semaine dernière entre l’Iran et le groupe dit P 5 + 1 (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine, Russie et Allemagne) ne doit pas être considéré comme un point...
Le Yémen est le nouveau terrain de la guerre régionale qui oppose puissances chiites et sunnites. Et l’Iran, chiite, est accusé d’être militairement présent auprès des rebelles Houthis, tombeur du président yéménite (sunnite), Abd Rabo Mansour Hadi. Au Liban, en Syrie, en...
Alors que l’atmosphère était plutôt à l’optimisme, les négociations entre le P5+1 et l’Iran n’ont pu être bouclées avant l’échéance du 24 novembre 2014, et ont tourné court.
Les négociations sur le programme nucléaire iranien doivent reprendre jeudi 18 septembre à New York, en marge de la conférence des Nations Unies. A l’heure où les Etats-Unis se voient obligés de s’impliquer à nouveau dans les affaires du monde, que ce soit en Ukraine ou au Moyen-Orient, un...
En 2013, Barack Obama et John Kerry ont difficilement réussi à pousser les dirigeants israéliens et palestiniens à reprendre les négociations de paix. Dans le même temps, Washington a renoué le dialogue avec Téhéran pour tenter de trouver une solution au problème du nucléaire iranien....
Les dirigeants turcs aimeraient faire de leur pays le leader du Moyen-Orient. Cette ambition s’est heurtée à celle d’un autre acteur incontournable de la région : l’Iran.
En novembre 2013 le maître de la Turquie, Recep Tayyip Erdoğan, recevait avec les honneurs Massoud Barzani, président du Gouvernement régional du Kurdistan (GRK) irakien, à Diyarbakır, « capitale » kurde de Turquie.
