Europe
L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.
Sujets liés
Europe-Russie : évaluation des rapports de force
Les pays européens ne peuvent plus éluder la « question russe » car la Russie a choisi la guerre. Ils disposent du potentiel nécessaire, c’est-à-dire des moyens économiques, des compétences militaires et du savoir-faire technologique pour faire face à la Russie d’ici 2030 à condition de faire preuve de volonté politique.
Entreprises et politique étrangère. Le lobbying à Paris, Washington et Bruxelles
La France et la Convention : entre les intérêts nationaux et une vision européenne
Cette analyse présente les positions françaises sur la Convention européenne, et le débat que celle-ci suscite en France. Elle s'inscrit dans les activités du réseau EPIN du CEPS, auquel est associé l'Ifri.
De la citoyenneté locale
Le débat sur la citoyenneté locale des populations immigrées et issues de l'immigration a près de 30 ans. Son contenu a beaucoup évolué.
La France, l'Allemagne, l'Europe. Perspectives (1)
Alors que Paris et Berlin célèbrent les 40 ans du Traité de l'Elysée, l'Ifri et la DGAP font des propositions pour relancer le "moteur" franco-allemand.
Auteurs de la Note : Ulrike Guerot, Karl Kaiser, Martin Koopmann, Maxime Lefebvre, Thierry de Montbrial, Philippe Moreau Defarges et Hans Stark. Notes de l'Ifri, n° 53, Paris, 2003, 58 p.
Paris, Berlin et Londres : vers l'émergence d'un directoire européen ?
La France, l'OTAN et la sécurité européenne : statu quo ingérable, renouveau introuvable
La France, l'Europe et la Méditerranée : un espace à construire
"Poutine a remis en question l'ordre de l'après-guerre froide"
"Tous les mécanismes sécuritaires sur lesquels reposait l’ordre de l’après-guerre froide ont été remis en question par l’annexion de la Crimée et la déstabilisation de l’Ukraine"
En Occident, personne n'est prêt à mourir pour Kiev
"Pour la politologue Tatiana Kastouéva-Jean, le sommet prévu demain à Minsk (Biélorussie) a peu de chance de déboucher sur un règlement du conflit entre Kiev et Vladimir Poutine."
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Les relations États-Unis / Union européenne, parfois compliquées
Le vice-Président des États-Unis Joe Biden est en visite ce vendredi à Bruxelles auprès des institutions de l'Union européenne. Il y rencontrera Donald Tusk, président du Conseil européen, Martin Schulz, président du Parlement, et Jean-Claude Juncker, président de la Commission. Il sera question notamment de l'aide financière à l'Ukraine et d'un éventuel renforcement des sanctions envers la Russie. L'occasion de faire le point sur les relations parfois un peu compliquées qu'entretiennent les États-Unis et l'Union européenne.
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La Grèce peut-elle réellement sortir de la zone euro ?
Le traité de Lisbonne prévoit une porte de sortie pour les États membres désireux de quitter le club des 28. Mais abandonner la monnaie européenne est plus complexe. Explications.
Depuis l'annexion de la Crimée, les Occidentaux ont perdu confiance en Poutine
Pensez-vous que le plan de règlement de crise proposé par Vladimir Poutine pose vraiment des questions de fond pour en finir avec le conflit ukrainien ou est-ce une simple manœuvre pour gagner du temps ?
- Aujourd'hui, il est difficile de répondre à cette question. Le président russe Vladimir Poutine a toujours fait dans la dichotomie. Sur un plan politique, il a parlé de paix et de règlement de conflit avec son homologue ukrainien à Bénouville (en France) en juin et à Minsk la semaine dernière.
À quoi sert le haut représentant de l'UE pour les affaires étrangères ?
Federica Mogherini, ministre italienne des affaires étrangères, a été désignée samedi 30 août haute représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
"La Russie conçoit sa politique en termes de rapport de force"
Les sanctions ciblées décidées jusqu’ici par les Etats-Unis et l’UE à l’encontre de la Russie ont-elles eu des effets ?
- Oui et non. Oui au regard de la fuite des capitaux, estimée pour le premier semestre 2014 à plus de 75 milliards de dollars [56 milliards d’euros, ndlr], soit plus du double par rapport à la même période 2013. Cela traduit une incontestable fébrilité des milieux économiques russes. Non, au regard du discours politique qui se durcit, comme si le Kremlin se préparait à une crise de longue durée avec l’Occident.
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