Coût de l'énergie, gaz, charbon... Ce que prévoit la coalition allemande
Les conservateurs et sociaux-démocrates allemands ont dévoilé plusieurs mesures sur l'énergie dans leur programme commun de gouvernement dévoilé mercredi, un mois et demi après les élections.
L’Europe peut-elle se passer totalement du gaz russe ?
Près de trois ans après le début de l’invasion de l’Ukraine, l’Europe se chauffe toujours en partie avec du gaz russe. Le pétrole et le charbon faisant l’objet d’un embargo, il s’agit du seul combustible fossile épargné par les sanctions européennes envers Moscou. Pourquoi l’Union européenne met-elle tant de temps à se sevrer, et finira-t-elle par y parvenir ?
Le gaz, arme géopolitique
Dans ce nouvel épisode du "Monde selon l'Ifri", nous accueillons Didier Holleaux, directeur général adjoint d'ENGIE et ancien président d'Eurogas. Expert en géopolitique de l'énergie, Didier Holleaux nous offre un éclairage sur les dynamiques actuelles du marché du gaz et les défis géopolitiques qui l'accompagnent.

États-Unis : le pays de l’oncle Sam est-il toujours une superpuissance énergétique ?
En quelques années, les États-Unis sont devenus le premier producteur mondial d’hydrocarbures et les élections ne devraient rien y changer. Il y a un consensus dans le pays pour que l’énergie reste bon marché et l’abondance du gaz et du pétrole donne un avantage compétitif énorme aux entreprises américaines.
Gaz russe : peut-on s'en passer ?
Peut-on se passer du gaz russe ? La guerre en Ukraine lancée par la Russie de Vladimir Poutine bouleverse les approvisionnements énergétiques européens et menace l'industrie européenne. Le gaz manque en Europe, ne passant plus par les pipeline en Ukraine ou en Pologne. Le GNL peut-il s'y substituer ? L'industrie européenne est-elle menacée ?
Transition énergétique en Europe : le Green Deal face aux chocs géopolitiques
Découvrez les implications géopolitiques du Green Deal européen et son rôle dans la transition énergétique avec le podcast « Le monde selon l’Ifri ».
Deux ans de guerre en Ukraine: comment la Russie parvient à maintenir ses recettes issues des hydrocarbures
Malgré les multiples embargos mis en place par les puissances occidentales depuis deux ans, Moscou a trouvé plusieurs relais afin de continuer à exploiter ses ressources énergétiques... pour l'instant.
Le gaz du Turkménistan au centre de toutes les convoitises
Plusieurs délégations européennes se sont rendues dans le pays ces derniers mois, dans l'objectif de sécuriser davantage d'approvisionnements. Mais la Chine, la Russie, l'Iran et les Etats-Unis restent mieux placés.

L'Afrique mise plus que jamais sur les hydrocarbures pour son développement
A l'heure où l'Europe demande la fin des nouveaux projets d'exploitation des énergies fossiles, ceux en Afrique n'ont jamais été aussi nombreux. Plusieurs pays ont ou vont faire leur entrée dans le club des pays producteurs de pétrole ou de gaz.

Le renouveau des renouvelables
Conséquence de la crise énergétique due à la guerre en Ukraine, les énergies renouvelables sont de nouveau populaires. Pourtant, elles sont souvent présentées comme inutiles, trop chères, trop moches, trop bruyantes et pas suffisamment fiables, réservées aux "bobos".

L'Europe toujours plus dépendante du gaz russe
Les exportations de Gazprom vers l'Europe ont battu un nouveau record. Un paradoxe alors que l'UE cherche à réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou.
En Algérie, la fuite en avant du gaz de schiste

Comment la Pologne veut se libérer de Gazprom
Varsovie multiplie les investissements pour importer du gaz du Qatar ou de Norvège. Objectif : mettre fin au contrat d'approvisionnement avec le russe Gazprom dans cinq ans.
Europe : l’impossible alternative au gaz russe

Sonatrach fait le point
Sonatrach : des défis importants à relever
Sonatrach a créé une véritable oasis de compétences dans l’appareil étatique (...), mais elle a besoin du privé pour mettre en valeur son domaine conventionnel.»

Le gaz monte en puissance
Même si le charbon reste la première source pour produire de l'électricité, les industriels investissent dans des énergies moins polluantes.
Gaz "Moscou cherche à sécuriser ses parts de marché en Europe"
Diplômée de l’Université Paris Dauphine, auteur d’une thèse sur « la rente pétrolière et le développement économique des pays exportateurs de pétrole », au Centre de Géopolitique de l’Énergie et des Matières premières (CGEMP). Economiste à la Commission de Régulation de l’Énergie (CRE) entre 2007 et 2014, Marie-Claire Aoun se penche notamment sur l’intégration des marchés gaziers en Europe. Depuis 2014, elle est directrice du Centre de l’Energie de l’Ifri.
2017 : une année empreinte d’incertitudes pour l’industrie pétrolière et gazière
Aléas géopolitiques, solidité de l’accord OPEP-non OPEP sur la réduction de la production de pétrole, réaction des producteurs de pétrole de schiste aux États‑Unis, abondance de l’offre et prix bas du gaz, transition vers une économie bas-carbone… L’année 2017 s’ouvre sur de nombreuses incertitudes pour l’industrie du pétrole et du gaz, comme l’explique Marie-Claire Aoun, directrice du Centre Énergie de l’IFRI, qui ouvre le dossier Perspectives 2017 du BIP.

Le pétrole de schiste américain est de retour
La hausse du prix du brut au-dessus de 50 dollars redonne des perspectives aux producteurs des Etats-Unis.
À ce rythme, les hydrocarbures non conventionnels pourront bientôt dire merci à l'Opep. Depuis que l'organisation emmenée par l'Arabie saoudite s'est employée à redresser les cours du pétrole (lire ci-dessous) - désormais bien installés au-dessus de la barre des 50 dollars le baril -, les pétrole et gaz de schiste ont repris des couleurs aux États-Unis. La semaine dernière, la société Baker Hughes, référence en la matière, a recensé la remise en service de 27 rigs (appareils de forage) supplémentaires, portant le total à 624 plateformes employées pour ouvrir de nouveaux puits. Certes, le pic des I 930 rigs, enregistré en 2014, est encore loin mais l'industrie des shale oil et des shale gas a clairement retrouvé une dynamique...
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