Sécurité - Défense
Sous l’effet de la compétition stratégique mondiale, les enjeux de sécurité et de défense sont marqués par le retour des guerres majeures et de la dissuasion nucléaire, la transformation du terrorisme et la course aux technologies militaires.
Sujets liés
La politique russe de recrutement de combattants et d’ouvrières en Afrique subsaharienne
La guerre russo-ukrainienne, déclenchée le 24 février 2022, s’est rapidement internationalisée. La Russie et l’Ukraine se sont très vite efforcées de mobiliser leurs alliés afin d’obtenir un soutien politique et diplomatique, ainsi que des ressources militaires et économiques. Mais les deux belligérants ont aussi cherché à recruter des étrangers à titre privé pour soutenir leurs efforts de guerre respectifs. Cette politique est globale et s’étend de l’Amérique latine à l’Extrême-Orient. L’Afrique subsaharienne, dans ce panorama, présente un intérêt particulier car elle constitue un vivier de recrutement vaste et facilement accessible, en raison de taux de pauvreté élevés dans la plupart des pays de la zone conjugués à un important désir d’émigration.
Barkhane: quels résultats concrets sur le terrain militaire?
Le sommet du G5 Sahel s'est achevé aujourd'hui à Ndjamena. De Paris où il a participé au sommet en visioconférence, Emmanuel Macron a annoncé le maintien en l'état, au moins jusqu'à l'été, des effectifs de l'opération Barkhane soit 5100 soldats français.
Un tigre de papier, le traité d'interdiction des armes nucléaires?
Le 22 janvier 2021, entrait en vigueur le Traité sur l’Interdiction des Armes Nucléaires élaboré sous l’égide de l’ONU.
Déradicalisation des terroristes : « Le constat est rassurant, mais il ne faut pas crier victoire trop vite »
INTERVIEW - Dans une étude, le chercheur à l'Ifri Marc Hecker souligne que sur les 64 personnes condamnées pour des faits de terrorisme suivies par le programme de déradicalisation depuis 2018, aucune n'a récidivé.
Jihadisme : la déradicalisation efficace ?
« Jihadiste un jour, jihadiste toujours ? » Telle est la question sur laquelle s’est penchée l’Ifri, l’Institut français des relations internationales, pour élaborer un rapport concernant les programmes de déradicalisation en France.
Djihasdiste un jour, djihasdiste toujours ?
Ce sont des résultats encourageants. Parmi les dizaines de condamnés pour des faits de terrorisme qui ont suivi un programme d’accompagnement à leur sortie de prison, aucun n’a récidivé.
Les résultats encourageants du programme de déradicalisation Pairs
Le chercheur Marc Hecker salue le « résultat rassurant » du programme Pairs. Sur 64 personnes condamnées pour terrorisme et accompagnées, aucune n’est retournée en prison pour de tels faits. Parmi les dizaines de condamnés pour des faits de terrorisme qui ont suivi un programme d’accompagnement à leur sortie de prison, aucun n’a récidivé.
Le difficile suivi des radicalisés en milieu ouvert
Deux ans après le lancement d’un programme spécialisé par l’administration pénitentiaire, une étude de l’IFRI, à paraître lundi 1er février, incite à pérenniser le dispositif de prise en charge.
Terrorisme : le bilan "encourageant" du programme de suivi des individus radicalisés
Sur les 120 personnes suivies depuis 2018 par le programme d’accompagnement des individus radicalisés, aucune n’a récidivé en matière de terrorisme, selon un rapport de l’Ifri (Institut français des relations internationales) que franceinfo révèle dimanche 31 janvier.
Programme de suivi des individus radicalisés : " On n'a absolument pas à rougir de ce qu'on fait en France par rapport à ce qui est fait à l'étranger "
Un rapport de l'Institut français des relations internationales, effectué par Marc Hecker, montre que sur 120 personnes suivies depuis 2018 par le programme d’accompagnement des individus radicalisés, aucune n’a récidivé en matière de terrorisme.
Du djihadisme au séparatisme : qui est l'ennemi ? Interview vidéo
Laurent Nuñez, coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, est interviewé par Jean-Dominique Merchet, correspondant défense et diplomatie de L’Opinion.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2025, l’Ifri accompagne plus de 80 entreprises et organisations françaises et étrangères.