
Marc-Antoine EYL-MAZZEGA
Directeur du Centre Énergie & Climat de l'Ifri
Domaines d'expertise :
- Le Green Deal européen, l’Union européenne et ses États membres
- Les technologies et solutions bas carbone
- Les marchés pétroliers et gaziers, les États rentiers
- Les majors pétro-gazières et les sociétés nationales
Marc-Antoine Eyl-Mazzega est nommé directeur du Centre Énergie & Climat de l'Ifri à partir du 1er septembre 2017.
Auparavant, il a travaillé six ans à l’Agence internationale de l’énergie, où il a notamment été en charge de la Russie et de l’Afrique subsaharienne, s’occupant plus particulièrement des analyses gaz et pétrole sur ces zones et des relations institutionnelles. Marc-Antoine Eyl-Mazzega a également travaillé à la Fondation Robert Schuman, où il a animé un observatoire sur l’Ukraine. Ayant la double nationalité française et allemande, il est docteur de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris.
La France souhaite un embargo rapide sur le pétrole russe. Mais pour d'autres pays européens, c'est une décision lourde, comme l'a expliqué mercredi sur franceinfo Marc-Antoine Eyl-Mazzega, chercheur à l’Institut français des relations internationales.
Décriptage par Marc-Antoine Eyl-Mazzega, directeur du Centre Energie & Climat de l'Ifri, du second tour des élections présidentielles françaises et de l'évolution de la situation en Ukraine.
Le cartel de pays exportateurs de pétrole et son allié russe brident toujours leur production, malgré l'envolée des cours qui menace l'économie mondiale. L'alliance entre Moscou et l'Arabie saoudite tient bon pour l'instant. Les capacités de production disponibles de l'Opep sont désormais très...
Pascal Canfin, président de la Commission Environnement du Parlement européen, dialogue avec Marc-Antoine Eyl-Mazzega, directeur du Centre Energie-Climat de l’Ifri pour décrypter les enjeux énergétiques de la guerre en Ukraine et les impacts sur la sécurité et la transition énergétique de l...
Les Européens refusent de payer Gazprom en roubles, comme l'exige Vladimir Poutine. Que pourrait faire Moscou en représailles? Le scénario d'une rupture totale des approvisionnements ne convainc pas les experts.
On la pensait sur le déclin. On parle désormais d'une possible renaissance de l'énergie nucléaire.
Officiellement, la transition énergétique reste la priorité. Mais pour se défaire des combustibles russes et répondre à l’envolée des prix de l’énergie, les grandes économies cherchent déjà à relancer la production de charbon, de pétrole et de gaz.
Cette étrange demande, qui laisse les analystes dubitatifs et soulève des questions juridiques, a fait bondir le prix de la matière première.
Pour Marc-Antoine Eyl-Mazzega, directeur du Centre Energie & Climat de l’Institut français des Relations internationales (Ifri), les prix très élevés du pétrole et du gaz donnent à Vladimir Poutine un avantage stratégique certain dans ce conflit face une Europe que sa...
Jusque-là, la Russie a livré près de 40 % du gaz consommé par les Vingt-Sept. Loin devant les autres fournisseurs, la Norvège, l’Algérie ou les Etats-Unis. Le scénario d’une suppression totale des livraisons russes paraît peu plausible.