Proche-Orient
Analyse des facteurs de crise au Proche-Orient, transformé par la guerre en Syrie et la persistance du conflit israélo-arabe, et où les enjeux de souveraineté et de frontières compliquent les problématiques humanitaires.
C'est une disposition qui permet, si un État le décide, de reprendre des sanctions qui avaient été levées sur l'Iran. Et ceci peut se faire avec ou sans l'accord de la Chine et de la Russie, puisque c'est une décision qui se fait sans veto. Donc, on peut s'attendre potentiellement à ce qu'une décision sur le "snapback" soit prise à la réunion du Conseil des gouverneurs.
citée par Pierre Olivier sur RFI
Israël est-il en train de devenir un état paria ?
Vendredi Emmanuel Macron a exhorté la communauté internationale à durcir sa position à l'égard d'Israël si la situation humanitaire ne s'améliore pas à Gaza. L'état hébreu apparait de plus en plus isolé sur la scène internationale. De quoi transformer l’État hébreu en État paria ?
Après la guerre Israël/Hezbollah : où va le Liban ?
Dans ce nouvel épisode du "Monde selon l'Ifri", nous recevons Joseph Maïla, Professeur de géopolitique à l’Essec, ancien directeur du pôle Religions et de la Prospective au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, membre du Conseil stratégique de l'Ifri et auteur d’un article à paraître dans Politique étrangère : "Liban 2025 : à la croisée des guerres". Il revient sur un pays déjà en crise avant même le 7 octobre 2023 : paralysie politique, effondrement socio-économique, explosion du port de Beyrouth en 2020, et poids écrasant des réfugiés syriens et palestiniens.
Moyen-Orient : ce qui change | Une leçon de géopolitique
Depuis l'attaque perpétrée par le Hamas le 7 octobre 2023 sur le territoire isréalien, le Moyen-Orient n’en finit plus de connaître des crises à répétition.
Gaza : le « sursaut de conscience » est-il trop tardif ?
Tandis que Benyamin Netanyahou reconnaît qu’Israël n’a pas l’intention d’arrêter la guerre, de plus en plus de voix se font entendre chez les intellectuels et les diplomates en France pour condamner les menées israéliennes à Gaza. Un réveil nécessaire, mais décalé et insuffisant, jugent les observateurs.
Donald Trump joue les équilibristes lors de sa tournée au Moyen-Orient
Au-delà de sa dimension économique, l'actuelle tournée de Donald Trump au Moyen-Orient se double de plusieurs aspects éminemment stratégiques pour Washington. La spécialiste en matière de relations internationales, Dorothée Schmid, analyse dans « Tout un monde » les rapports de force en présence dans ce voyage très observé.
Occupation de Gaza : la guerre par d'autres moyens ?
Alors qu’Israël annonce une occupation durable de Gaza, l’intervention militaire prend une dimension nouvelle. Derrière les enjeux sécuritaires, un projet territorial et démographique se précise, tandis que la situation humanitaire continue de se dégrader dans un climat de fortes tensions.
Trump en tournée au Moyen-Orient : « Si les Américains mettent la pression sur Nétanyahou, c’est fini pour lui »
Le président des Etats-Unis s'envole ce lundi pour l'Arabie Saoudite, point de départ d'une tournée dans la région. Une visite cruciale, selon Adel Bakawan, sociologue et spécialiste du Moyen-Orient.
Trump au Moyen-Orient : dollars et stratégie
A l'aune de la visite annoncée de Donald Trump en Arabie saoudite, au Qatar et aux Emirats arabes unis, sa première tournée officielle dans la péninsule arabique, quelle priorité du président étasunien ? S’agit-il d’une tournée diplomatique ou financière ?
Vers un accord Trump-Iran sur le nucléaire ?
Donald Trump a entamé avec les mollahs des négociations au sujet du nucléaire iranien. Un revirement inattendu, alors que les deux pays n’entretiennent plus de relations diplomatiques officielles depuis 1980.
Syrie: pourquoi ce soutien jusqu'au-boutiste de la Russie?
Lundi 12 mars, la Russie, par l'intermédiaire de son ministre des Affaires étrangères, a renouvelé son appel à la fin des violences en Syrie "d'où qu'elles viennent". Sergueï Lavrov a, par ailleurs, assuré de son soutien la mission de l'envoyé de l'ONU et de la Ligue arabe en Syrie, Kofi Annan, qui se trouvait à Damas samedi dernier. Le même jour, Russes et Arabes avaient cosigné une déclaration en cinq points : "mettre un terme à la violence en Syrie indépendamment de son origine", créer un mécanisme de contrôle d'une possible transition, organiser l'acheminement de l'aide humanitaire, soutenir la mission de Kofi Annan. Dernier élément: rappel du principe de "non-ingérence" dans les affaires syriennes.
Pourquoi deux émissaires russes se rendent en Syrie?
Tandis que les bombardements ont repris lundi sur la ville de Homs et que les Etats Unis et la Grande Bretagne veinnent de fermer leurs ambassades à Damas, la Russie envoie deux émissaires en Syrie: le chef de sa diplomatie, Sergeï Lavrov, et le chef de ses services de renseignements extérieurs, Maikhaïl Fradkov sont attendus ce mardi dans la capitale syrienne. Trois jours après avoir bloqué, avec la Chine, une résolution du Conseil de Sécurité des Nations Unies contre les violences en Syrie, la Russie veut faire entendre sa voix dans le concert des nations.
Alors que les Syriens continuent de manifester et que le Régime de Bachar al-Assad continue de tuer, la Russie envoie des émissaires. Photo: Syriana2011
Tandis que les bombardements ont repris lundi sur la ville de Homs et que les Etats-Unis et la Grande-Bretagne viennent de fermer leurs ambassades à Damas, la Russie envoie deux émissaires en Syrie. Le chef de sa diplomatie, Sergueï Lavrov, et le chef de ses services de renseignements extérieurs, Mikhaïl Fradkov sont attendus ce mardi dans la capitale syrienne. Trois jours après avoir bloqué, avec la Chine, une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies contre les violences en Syrie, la Russie veut faire entendre sa voix dans le concert des nations.
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Tandis que les bombardements ont repris lundi sur la ville de Homs et que les Etats-Unis et la Grande-Bretagne viennent de fermer leurs ambassades à Damas, la Russie envoie deux émissaires en Syrie. Le chef de sa diplomatie, Sergueï Lavrov, et le chef de ses services de renseignements extérieurs, Mikhaïl Fradkov sont attendus ce mardi dans la capitale syrienne. Trois jours après avoir bloqué, avec la Chine, une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies contre les violences en Syrie, la Russie veut faire entendre sa voix dans le concert des nations.
- See more at: http://www.cuej.info/web-en-continu/pourquoi-deux-emissaires-russes-se-rendent-en-syrie#sthash.83XJgJb1.dpufFaut-il intervenir en Syrie ?
Le blocage de la diplomatie russe au Conseil de sécurité des Nations unies sur l’adoption d’une résolution ouvrant la voie à une solution sur la crise en Syrie fait l’objet de vives critiques internationales. Les raisons qui poussent la Russie à faire preuve d’une telle intransigeance sur la Syrie ont déjà été maintes fois exposées.
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