Proche-Orient
Analyse des facteurs de crise au Proche-Orient, transformé par la guerre en Syrie et la persistance du conflit israélo-arabe, et où les enjeux de souveraineté et de frontières compliquent les problématiques humanitaires.

L'IA s'en va-t-en guerre
Quelles sont les principales innovations apportées par l'IA dans les guerres qui se déroulent en Ukraine et à Gaza ? Quels risques ces développements posent-ils pour les guerres du futur ? Quelle place pour le droit international face à l'essor des armes autonomes ?
DOSSIER RAMSES 2025 N° 1 – Moyen-Orient : la recomposition sans fin
Au Moyen-Orient, les acteurs directs du conflit semblent incapables d'en revenir à un dialogue politique, tandis que les acteurs voisins manoeuvrent au fil de leurs intérêts d'État, à la recherche d'une introuvable recomposition régionale. Les puissances extérieures pèsent-elles vraiment ?
Israël-Gaza après le 7 octobre
Le conflit à Gaza met aux prises deux acteurs en crise interne : des Palestiniens sans représentation crédible et des Israéliens politiquement très clivés. Les solidarités avec l’un et l’autre camp s’ordonnent internationalement de manière nouvelle, avec les poids inédits des opinions et d’instances internationales qui affectent le rapport de force global. Seule une mobilisation internationale pourra rendre possible une solution à deux États, unique sortie crédible pour un conflit séculaire.
Guerre à Gaza : les répercussions internationales un an après le 7 octobre
Notre podcast "Le monde selon l'Ifri" fait sa rentrée ! Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Dorothée Schmid, responsable du Programme Turquie/MoyenOrient de l'Ifri, pour un décryptage des répercussions internationales de la guerre à Gaza.
Proche-Orient : l’impossible escalade
Au Proche-Orient, entre menace d'embrasement et forme de dissuasion, la confrontation est-elle sans issue entre Israël, le Hamas, le Hezbollah, l'Iran et les Etats-Unis ? Quelle place des récits dans ces affrontements ? Quel rôle Washington peut-elle vraiment jouer dans les négociations ?

Israël-Hezbollah : fausse désescalade ?
Proche-Orient : la riposte mesurée du Hezbollah libanais contre Israël a-t-elle été configurée pour qu’aucune des deux parties ne perdent la face et pour éviter un embrasement régional ?
Israël, la fuite en avant du gouvernement Netanyahou
Après des affrontements aux conséquences incertaines avec le Hezbollah le 25 août, Israël n'aurait pas "dit son dernier mot" selon les termes de Benjamin Netanyahu. Si le jusqu'au-boutisme du gouvernement est de mise, la société israélienne est en état de sidération politique.
Gaza : l’après-guerre favorisera-t-elle la paix ?
Après dix mois de guerre, la perspective d’une paix entre Israël et Gaza reste difficilement envisageable. Depuis le plan de paix avancé par Joe Biden, Israël comme le Hamas expriment leur accord de principe, mais les négociations patinent sur les conditions pour parvenir au cessez-le-feu.
Iran et Israël : meilleurs ennemis
L’attaque de missiles iraniens sur le sol israélien le 13 avril 2024, suivie par une riposte d’Israël visant une base militaire proche d’un des principaux sites nucléaires iraniens, fut le point d’orgue d’une guerre multiforme qui oppose les deux pays depuis plusieurs décennies. Alors qu’Israël entretenait les meilleures relations, diplomatiques et même militaires, avec l’Iran du Shah Mohammad Reza Pahlavi, il est apparu très vite qu’il n’en serait pas de même avec la République islamique.
Plans israéliens : comment se pense le "jour d'après" à Gaza ?
Ce lundi, un nouvel ordre d'évacuation dans le sud de la bande de Gaza a été émis par Israël. Pourtant le 24 juin dernier Benjamin Netanyahou annonçait la « fin de la phase intense » des combats dans la région.
Israël/Palestine : échec en vue pour le plan Kushner ?
A peine énoncé, le plan du gendre de Donald Trump sur le conflit israélo-palestinien a peu de chances de voir le jour.
«Beaux, nouveaux et intelligents» : quels sont les missiles dont parle Trump
Le président américain a promis qu’il frapperait le sol syrien, vantant la qualité des missiles de son armée. « La Russie jure d’abattre n’importe quel missile tiré sur la Syrie. Que la Russie se tienne prête, car ils arrivent, beaux, nouveaux et intelligents ! »

Attaques chimiques: comment la France peut frapper la Syrie
Suite aux attaques chimiques à Douma, Emmanuel Macron et Donald Trump multiplient les échanges en vue de frappes conjointes sur le régime syrien. Le scénario le plus probable verrait l’utilisation de missiles Tomahawk et Scalp, voire le nouveau missile de croisière naval (MDcN) français. Frapperont, frapperont pas ?
«En Syrie, Poutine n'est pas le seul à décider»
Le Président russe doit compter avec l’Iran, la Turquie et Bachar el-Assad, qu’il ne contrôle pas toujours. Analyse, dans ce «talk stratégique», de Tatiana Kastouéva-Jean, spécialiste de la Russie à l'Institut français des relations internationales.

Erdogan appelle les musulmans à reconnaître Jérusalem-est comme capitale de la Palestine
Lors du sommet extraordinaire de l'Organisation de la Coopération islamique (OCI), à Istanbul, le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé à reconnaitre Jérusalem-est comme capitale de la Palestine.
Égypte : les conséquences sociales et politiques d’une économie très dégradée.
On parle à juste titre de la politique intérieure égyptienne, on ne traite pas assez des conséquences de la politique du « tout-répression » contre les Frères musulmans (qui réserve sans doute des surprises dans les prochaines années), on n’évoque guère l’état de l’économie.
“En presque six ans de guerre en Syrie, la Russie a toujours soufflé le chaud et le froid”
Après six veto, Moscou a voté lundi 19 décembre la résolution du Conseil de sécurité permettant l’envoi d’observateurs à Alep. Les “surprises” font partie de la stratégie russe, explique Julien Nocetti, chercheur au Centre Russie/NEI de l'Ifri.
Alep : Pourquoi la Russie a finalement accepté la résolution de l’ONU ?
Un non ferme, qui s’est finalement transformé en oui. La Russie, qui soutient le régime du président syrien Bachar al-Assad, a finalement voté la résolution de l’ONU ce lundi, visant à déployer des observateurs onusiens à Alep pour y superviser les évacuations et évaluer la situation des civils. Elle avait annoncé dans un premier temps son intention d’y opposer son véto. 20 minutes analyse ce revirement.La Russie avait menacé d’y opposer son veto. « Nous ne pouvons laisser voter ce texte car c’est un désastre », a ainsi déclaré, dimanche, Vitali Tchourkine, l’ambassadeur russe à l’Onu. Il a estimé le plan français « impraticable et dangereux ». « Nous n’avons pas en soi de problème avec quelque sorte de supervision que ce soit », a-t-il déclaré. « Mais l’idée qu’on devrait leur demander [aux observateurs] de parcourir les ruines d’Alep-est sans préparation adéquate et sans informer quiconque de ce qui est en train de se passer équivaudrait à une catastrophe », a-t-il estimé.
Syrie : "Il y a à la fois une victoire et un affaiblissement de Bachar el-Assad"
Le régime de Bachar el-Assad est sur le point de reprendre la ville d'Alep, quelles en seront les conséquences ? Pour analyser la situation, Denis Bauchard, conseiller pour le Moyen-Orient à l'Ifri était invité de l'émission "On va plus loin", présentée par Sonia Mabrouk sur Public Sénat.
Certains candidats veulent se rapprocher de Vladimir Poutine et de Bachar Al-Assad
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