Réputé pour sa stabilité intérieure depuis son indépendance proclamée le 16 décembre 1991, le Kazakhstan a été confronté, du 2 au 19 janvier 2022, au plus fort épisode contestataire de son histoire.
Eurasie
L'axe de recherche Eurasie au sein du centre Russie / Eurasie de l'Ifri analyse les évolutions de la Biélorussie, la Moldavie, l'Ukraine, l'Arménie, la Géorgie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Turkménistan, le Tadjikistan et le Kirghizistan ainsi que leurs relations avec la Fédération de Russie.
Chercheur, Directrice du Centre Russie / Eurasie de l'Ifri
...Chercheur, Centre Russie / Eurasie de l’Ifri
...Chargée de Projet, Centre Russie / Eurasie de l'Ifri
...Chercheur associé, Centre Russie / Eurasie de l'Ifri
...La guerre que la Russie livre à l'Ukraine impacte directement les républiques d'Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan et Turkménistan), qui sont proches des deux belligérants.
Les institutions ukrainiennes ont dans l’ensemble résisté au choc de la guerre : le gouvernement central et les collectivités territoriales disposent d’une véritable légitimité et d’une solide capacité à gouverner.
Alors que la côte de popularité de Vladimir Poutine était de 69% en janvier 2022, elle est de 83% un mois après l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, le 24 février 2022, le Venezuela affiche un soutien en apparence indéfectible à la Russie. Caracas a ainsi reconnu l'indépendance des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, brocardé les lourdes sanctions occidentales infligées à l'économie...
Le 24 février 2022, huit ans après avoir déployé contre Kiev une stratégie indirecte intégrale, à la fois militaire et non militaire, Vladimir Poutine a décidé de déclencher une guerre ouverte contre l’Ukraine.
Le 11 février 2022, Gourbangouly Berdymoukhamedov a annoncé son départ de la présidence de la République du Turkménistan.
Les relations que la Russie entretient avec les républiques d’Asie centrale subissent depuis plusieurs années des évolutions importantes. La crise au Kazakhstan - suivie d’une intervention russe - est l’occasion de faire un 360° des relations bilatérales russo-centrasiatiques.
Les secousses et tensions de l’espace post-soviétique Visioconférence
« Une année de turbulences : la Russie face aux défis de 2020 »
Cycle de 4 tables rondes internationales par visioconférence (en remplacement du séminaire annuel, pour cause de pandémie)
Biélorussie, quelle sortie de la crise politique ? Visioconférence
La réélection contestée d’Alexandre Loukachenko, le 9 août 2020, a provoqué un soulèvement populaire sans précédent dans l’histoire de la Biélorussie postsoviétique. Alors que la candidate de l’opposition Svetlana Tikhanovskaïa est désormais exilée en Lituanie, les manifestations de masse et...
L’Ukraine, quel bilan de la première année de présidence de Volodymyr Zelensky ? Visioconférence
Ancien comédien sans expérience politique, Volodymyr Zelensky a été élu sur un programme de transformation profonde du système politique ukrainien, de réformes économiques, de lutte anti-corruption et de retour à la paix dans le Donbass. Or, tous les dossiers peinent à avancer en dépit de...
Russie : des ambitions contrariées ? Sur invitation personnelle non transférable
Cet évènement est réservé aux partenaires du Centre Russie/NEI. Sur invitation personnelle uniquement.
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L'état des relations entre l'Union européenne et l'Asie centrale. Table ronde autour du ministre des Affaires étrangères du Kirghizistan, Chingiz AIDARBEKOV
Inscriptions closes.
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La politique étrangère et de sécurité du Bélarus à la croisée des chemins
Situé entre la Russie et l’Union européenne, le Bélarus cherche aujourd’hui à diversifier sa politique étrangère : il participe à l’Union économique eurasienne, donne des signes de rapprochement avec l’UE, propose sa médiation dans le dossier épineux du règlement du conflit à l’Est de l...
L’Ukraine : quelles perspectives après l’élection du nouveau président ? Séminaire fermé
Cet événement est réservé aux partenaires publics et privés du Centre Russie/NEI de l'Ifri.
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Les priorités de la politique étrangère arménienne après la Révolution de velours Séminaire restreint
Rencontre avec Zohrab MNATSAKANYAN, ministre des Affaires étrangères de la République d'Arménie. Ancien Représentant permanent de l'Arménie auprès des Nations Unies, Zohrab MNATSAKANYAN est ministre des Affaires étrangères depuis mai 2018. Il présentera les...
Élections présidentielles en Ukraine : le pays en sortira-t-il gagnant ? Conférence ouverte
Inscriptions closes
À la différence de plusieurs pays postsoviétiques, les résultats des élections présidentielles en Ukraine (mars 2019) ne sont pas connus d’avance et peuvent réserver des surprises.
La puissance russe : outils et dilemmes Sur invitation personnelle non transférable
Cet évènement est réservé aux partenaires du Centre Russie/NEI. Sur invitation personnelle uniquement.
...Les ex-républiques soviétiques prennent de plus en plus leurs distances vis-à-vis d'une Russie qui ne dispose plus du soft power ni des moyens militaires pour dominer la région. L'invasion de l'Ukraine a accéléré la deuxième dislocation de l'imperium russe, trente-deux ans après la fin de l...
Alexandre Loukachenko et Vladimir Poutine se sont retrouvés mercredi et jeudi pour des discussions autour de l’union de leurs deux pays au sein d’une entité confédérale. Un « serpent de mer » depuis la fin de l’URSS en 1991.
Les pays d’Asie centrale sont au cœur d’une région stratégique disputée. Pour autant, il ne faut pas la résumer seulement à une zone « co-gérée » par la Russie et la Chine.
Les électeurs kazakhs renouvellent leur Parlement ce dimanche alors que le pays tente en pleine guerre d’Ukraine de s’émanciper de Moscou.
Traditionnellement, ils sont alliés de la Russie. Le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan, le Turkménistan et le Tadjikistan adoptent une position d’équilibriste depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine, entre prises de position pro-Kiev et neutralité diplomatique affichée. Une...
Alors que le conflit s’enlise, les spécialistes consultés par « Le HuffPost » estiment que seule une défaite militaire stratégique de la Russie pourra conduire à la paix.
La Russie pensait prendre Kiev en 72 heures mais un an après, son armée patine. Alors que Vladimir Poutine enchaîne les pertes militaires qui pourraient fragiliser son régime, pourquoi persévère-t-il ? Quel est le but ultime derrière sa guerre en Ukraine ? Nous avons interrogé...
Traditionnels alliés du Kremlin, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Kirghizistan, le Turkménistan et le Tadjikistan adoptent une position d’équilibriste depuis le début de l’invasion russe, entre prises de position pro-Ukraine et neutralité diplomatique.
Le type d’armes livrées à l’Ukraine par les alliés occidentaux pourrait être décisif dans la suite du conflit même si les experts ne voient pas une “victoire totale” de l’Ukraine.
Au bout d’un an de guerre, le front s’est stabilisé. Ni la Russie ni l’Ukraine ne sont en mesure de remporter la victoire. Mais ce n’est pas ce qui va freiner Vladimir Poutine. Fort du soutien des hommes du Kremlin, il prépare les Russes à une guerre longue, très longue.