La Moldavie a longtemps été qualifiée de pont entre les civilisations russo-orthodoxe et occidentale.
Eurasie
L'axe de recherche Eurasie au sein du centre Russie / Eurasie de l'Ifri analyse les évolutions de la Biélorussie, la Moldavie, l'Ukraine, l'Arménie, la Géorgie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Turkménistan, le Tadjikistan et le Kirghizistan ainsi que leurs relations avec la Fédération de Russie.
Chercheur, Directrice du Centre Russie / Eurasie de l'Ifri
...Chercheur, Centre Russie / Eurasie de l’Ifri
...Chargée de Projet, Centre Russie / Eurasie de l'Ifri
...Chercheur associé, Centre Russie / Eurasie de l'Ifri
...Pourquoi Vladimir Poutine est-il si populaire ? A-t-il un projet pour la Russie ? Y a-t-il une vraie opposition politique ? La Russie est-elle un pays développé ? Qui sont les alliés de la Russie ? La Tchétchénie vit-elle selon ses propres lois ? Quelles sont les raisons de l’intervention...
Le présent article analyse la construction idéologique et l’instrumentalisation politique par le Kremlin de l’importante population russophone établie hors des frontières russes.
Les relations sino-bélarusses se caractérisent par un décalage entre la qualité et la profondeur du partenariat politique et la réalité économique – plus limitée – de la coopération bilatérale.
Le conflit avec la Russie a mis en évidence l’état catastrophique de l’appareil de défense ukrainien.
Vingt-cinq ans après la dissolution de l’Union soviétique et l’accession des républiques centre-asiatiques à l’indépendance, les questions sécuritaires figurent toujours au premier rang des priorités en Asie centrale.
Le conflit armé dans le Donbass qui a commencé au printemps 2014 a dès le début attiré les radicaux de droite, Russes comme Ukrainiens. Les groupes ultranationalistes organisés et les activistes isolés ont créé leurs propres formations de volontaires ou ont rejoint des structures déjà...
Au cours des deux dernières années, plusieurs phénomènes ont incité la Russie à renforcer le vecteur eurasiatique de sa politique étrangère. D’une part, la forte dégradation des relations avec l’Occident, dans le contexte de la crise ukrainienne, a conduit la Russie à modifier son approche de...
Le projet chinois de « nouvelle Route de la soie » vise à constituer un vaste réseau d’infrastructures reliant trois continents, avec la Chine comme clé de voûte.
La politique extérieure russe a négligé l’Asie centrale durant une grande partie de l’époque soviétique. Les choses évoluent désormais : les conjonctures régionale et internationale poussent Moscou à s’intéresser de plus en plus à l’Asie centrale.
La Géorgie se sent-elle menacée ?
Petit-déjeuner débat avec Nino Burjanadze, présidente du Parlement de Géorgie
Présidence : Thierry de Montbrial
En mai 2006, l'Ifri accueillait Mikheil Saakashvili, président de la Géorgie, venu présenter sa stratégie d'intégration euro...
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Le président russe a annoncé ce mercredi matin la mobilisation de centaines de milliers de réservistes, tout en essayant d’intimider l’Occident par le chantage nucléaire.
Lors d'un discours très attendu à la télévision russe, le chef du Kremlin a annoncé la mobilisation de la réserve russe. Dans les faits, seulement 300.000 hommes seront concernés, a précisé le ministre de la Défense, Sergueï Choïgou.
Alors que l’armée de Vladimir Poutine est monopolisée par le conflit en Ukraine, des violences resurgissent en Asie centrale, dans le Caucase mais aussi au Moyen-Orient.
C'est une escalade majeure, aux conséquences potentiellement inquiétantes, dans la guerre en Ukraine. Les autorités des deux républiques autoproclamées du Donbass, pro-Kremlin, et de celle de Kherson , occupée par l'armée russe depuis mars, ainsi que de Zaporijjia, ont brusquement annoncé...
La rencontre entre Vladimir Poutine et Xi Jinping au sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai a pour objectif de consolider leur alliance face aux Occidentaux. Le duo russo-chinois se prépare-t-il à gouverner le monde ?
Le président russe a signé, jeudi 25 août, un décret visant à augmenter l’effectif de son armée de 137 000 militaires, soit plus de 10 % de la force de combat actuelle. Cette mesure devra entrer en vigueur le 1er janvier 2023.
Vladimir Poutine a signé un décret ordonnant l'augmentation de la force de combat actuelle de 137.000 hommes, soit une hausse de plus de 10%. Mais cette politique paraît difficile à mettre en œuvre.
Les Ukrainiens auront du mal à réunir une force offensive assez conséquente et donc à changer, pour l’instant, le cours de la guerre. L’armée russe est quant à elle sur la défensive sur une partie du front, subit des attaques déstabilisantes à l'arrière et, au fond, a déjà essayé plusieurs...
Six mois après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le conflit ne semble pas près de se terminer et s'enlise, selon des experts. Combats et frappes russes meurtrières se poursuivent au quotidien.
Moscou ne lésine pas sur la paie et les avantages promis aux engagés et se tourne également vers les sociétés privées de mercenaires, comme Wagner.