Rechercher sur Ifri.org

À propos de l'Ifri

Recherches fréquentes

Suggestions

Europe

Description

L'Europe est entendue ici dans son acception géographique. Elle ne se limite pas à l'Union européenne, et inclut par exemple le Royaume-Uni ou les Balkans. Elle reste centrale dans les relations internationales.

Sujets liés

Image Taxonomie
Drapeau de l’UE devant le bâtiment du Parlement européen. Bruxelles, Belgique
Tout voir
Publications
Presse
Date de publication
novembre 2025

Europe-Russie : évaluation des rapports de force

Image principale
Image
Satellite view of Europe
Nom
Satellite view of Europe
Credits : (c) JTrzmiel/Shutterstock
Accroche

Les pays européens ne peuvent plus éluder la « question russe » car la Russie a choisi la guerre. Ils disposent du potentiel nécessaire, c’est-à-dire des moyens économiques, des compétences militaires et du savoir-faire technologique pour faire face à la Russie d’ici 2030 à condition de faire preuve de volonté politique.

Quel est l'impact économique des tensions transatlantiques ?

Date de publication
22 mars 2009
Accroche

En 2003, les appels au boycott économique ont été nombreux entre États- Unis et pays européens opposés à la guerre en Irak mais n’ont pas eu de véritables effets économiques. Plusieurs facteurs peuvent expliquer la faible perméabilité des échanges aux tensions politiques, et au premier chef la transnationalité des entreprises. Il n’est en revanche pas exclu que, sur le long terme, la dégradation de certaines images nationales affecte la diffusion de produits emblématiques.

Sophie MEUNIER

La géopolitique transatlantique : discordes et retrouvailles

Date de publication
22 mars 2009
Charles A. KUPCHAN

Introduction : Turbulences et stabilités

Date de publication
22 mars 2009
Michel GIRARD Helen V. MILNER

L'Europe, les Etats-Unis et la Cour pénale internationale

Date de publication
22 mars 2009
Wayne SANDHOLTZ

La crise et la gouvernance européenne

Date de publication
22 mars 2009
Accroche

La crise financière frappe une Europe institutionnellement mal en point. La présidence française a donné à l’UE l’illusion d’être gouvernée, sans instituer de gouvernance nouvelle. La Commission s’est marginalisée, et le Conseil n’a démontré aucune autonomie par rapport à sa présidence semestrielle. La Banque centrale est sans doute l’institution qui a le mieux réagi. Quant au traité de Lisbonne, il n’est pas bien sûr qu’il puisse remédier à une faiblesse persistante de l’exécutif européen.

Philippe de SCHOUTHEETE

Le changement climatique, Kyoto et les relations transatlantiques

Date de publication
22 mars 2009
Accroche

Les positions des États-Unis et des pays européens en matière de changement climatique correspondent à des choix historiques en matière d’utilisation de l’énergie, à des stratégies économiques et internationales, qui diffèrent. 

Imène AJALA Urs LUTERBACHER

L’agenda de sécurité transatlantique pour 2009

Date de publication
17 mars 2009
Accroche

Compte-rendu réalisé par Charlotte Teisseire, stagiaire, Ifri Bruxelles

Une régulation des télécommunications au service de la concurrence et de l'innovation

Date de publication
24 février 2009
Accroche

Compte-rendu réalisé par Charlotte Teisseire, stagiaire, Ifri Bruxelles.

Paul CHAMPSAUR Fabio COLASANTI

How Can Europeans Agree on a Common Migration Policy?

Date de publication
19 février 2009
Accroche

L'immigration a constitué une des priorités les plus importantes de la présidence française du Conseil européen en 2008. 

Espace et sécurité : l'Europe en tête

Date de publication
27 janvier 2009

Europe-Asie : renforcer le dialogue informel. Première Réunion plénière du CAEC, Conseil pour la coopération Europe-Asie, 5-6 novembre 1996

Date de publication
01 juillet 1997
Accroche

Cet ouvrage, fruit de la première conférence plénière du CAEC, (Conseil pour la coopération Europe-Asie), compare les visions européennes et asiatiques dans de nombreux domaines: systèmes sociaux, politiques économiques et commerciales, perspectives stratégiques...

L'Union et l'Alliance : les dilemmes de la défense européenne

Date de publication
01 octobre 1996
Nicole GNESOTTO
Image principale

L'Europe, l'OTAN et la France : les problèmes non résolus de la défense européenne

Date de publication
01 avril 1983
Accroche

Certains vocables ne sont pas tout à fait neutres. Qui inscrit en tête d'un article le titre « Moyen-Orient », laisse le lecteur sans indication sur ses tendances ou sympathies vis-à-vis d'Israël ou des Arabes. Mais l'expression « défense de l'Europe » n'a pas été couramment employée par tous ceux qui se sont penchés sur les problèmes stratégiques de notre continent.

Jacques ANDRÉANI
Image principale

L'Europe 1972-1980 : données et perspectives politiques

Date de publication
01 septembre 1972
Accroche

Cet article a été rédigé à l'occasion de la réunion des directeurs d'Instituts européens des relations internationales qui s'est tenue à Varna (Bulgarie) les 4 et 5 octobre 1972.

Jacques VERNANT
Image principale

L'Europe et ses populations excédentaires

Date de publication
01 avril 1954
Accroche

Lorsque les dix-huit gouvernements représentés à Bruxelles en novembre et décembre 1951 à l'hôtel Atlanta adoptèrent la Résolution qui porte le nom de la capitale belge et créèrent l'organisation alors nommée Comité intergouvernemental provisoire pour les Mouvements migratoires d'Europe, un acte important, sous une apparence modeste, venait d'être fait dans un domaine jusqu'alors trop négligé.

Robert ROCHEFORT
Image principale

Contre l'armée européenne

Date de publication
01 novembre 1953
Accroche

Quand Démosthène mettait en garde les Athéniens contre Philippe de Macédoine, Démosthène avait raison ! Athènes était une cité, et l'âge venait de plus grands empires. Mais il était deux politiques : l'une qui permettait de les constituer par une alliance et dans la liberté, l'autre qui acceptait de les voir naître de la tyrannie.

Michel DEBRÉ
Image principale

L'Occident devant l'Orient : primauté d'une solution culturelle

Date de publication
01 mai 1952
Accroche

Un récent séjour à Bagdad et au Caire m'a inspiré quelques observations sur l'état social dans le Proche-Orient et a attiré mon attention sur ce que j'appelle la priorité ou « primauté d'une solution culturelle ». Les réflexions qui vont suivre sont présentées d'un point de vue français et concret.

Louis MASSIGNON
Image principale

De l'accord de Munich à la fin de l'État tchéco-slovaque

Date de publication
01 avril 1939
Accroche

La Tchéco-Slovaquie indépendante n'est plus. Cet événement qui a violemment secoué la conscience du monde a peut-être moins ému ceux qui avaient commencé, dès l'accord de Munich, à porter le deuil de l'État tchéco-slovaque.

Hubert BEUVE-MÉRY
Image principale

Origine et éléments de la conception française du « règlement général » de la paix en Europe

Date de publication
21 mars 1937
Accroche

Pierre Brossolette (1903-1944) repose au Panthéon depuis 2015. Il est surtout célèbre pour son action dans la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1930, il a été à la fois journaliste et homme politique. Membre de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), il est battu lors des élections législatives de 1936. En 1937, date à laquelle il contribue à la revue Politique étrangère, il présente quotidiennement une chronique de relations internationales à Radio-PTT.

Pierre BROSSOLETTE
Logo
logo_la_croix.png

Le Royaume-Uni peut-il présider le Conseil de l'UE en 2017?

06 juillet 2016
Accroche

« Juridiquement, rien n'empêche le Royaume-Uni d'assurer la présidence », rappelle Vivien Pertusot, directeur du bureau à Bruxelles de l'Institut français des relations internationales (Ifri), avant de concéder: « Mais ce serait quand même étrange ! » L'expert maintient surtout que le pays n'est pas prêt pour ce rôle clé : « Une présidence se prépare longtemps
à l'avance. Le Royaume-Uni a mobilisé ses forces vives ailleurs, notamment dans la préparation du référendum ».

Et si le Royaume-Uni décidait de présider malgré tout ? Cela n'est pas exclu. Pour Vivien Pertusot, il serait même dans l'intérêt des Britanniques d'assumer ce rôle : « Le Royaume-Uni pourrait gérer les affaires courantes et essayer d'influer sur les politiques qui l'intéressent, de telle sorte qu'il puisse en bénéficier une fois sorti de l'UE. Il serait au coeur du jeu institutionnel ».

Lire l'intégralité de l'article sur lacroix.fr

Logo
NEW_logo_lexpress.png

Après le Brexit, l'Europe doit-elle encore légiférer sur la qualité des bananes ?

28 juin 2016
Accroche

"Depuis cinq ans, le principe de subsidiarité est remis énormément en avant à l'initiative des Néerlandais et des Britanniques", remarque Vivien Pertusot, chercheur et responsable de l'Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

Logo
opinion_logo.png

La nouvelle géographie des pouvoirs en Europe

27 juin 2016
Accroche

« Le changement de l’équilibre des forces au sein du Conseil et plus généralement dans les institutions européennes dépendra beaucoup des sujets et du degré d’activisme passé des Britanniques sur chacun d’entre eux. Ils ont été très actifs sur certains thèmes, sur d’autres beaucoup moins », explique Vivien Pertusot, responsable de l’Institut français des relations internationales (Ifri) à Bruxelles.

Logo
lesoir.jpg

"Je ne crois pas à la contagion de sorties de l'UE"

25 juin 2016
Accroche

Dans quel état se trouvent le Royaume-Uni et l’Union européenne au lendemain du Brexit ?
Le Royaume-Uni se réveille très divisé. Il suffit de prendre une carte des résultats pour s’en rendre compte. On voit très clairement qu’il y a deux unions : l’Ecosse, ultra majoritairement pour le « remain », et l’Angleterre et le pays de Galles qui sont majoritairement pour le « leave », à l’exception des grandes métropoles, dont Londres.

L’euroscepticisme a gagné beaucoup de pays européens. Le Brexit peut-il avoir un effet domino ?
Je ne crois pas à la contagion de sorties de l’Union européenne. Par contre, il va y avoir une contagion de la critique européenne. Et c’est sain. Le projet européen n’est pas parfait. Il faut le critiquer. Mais les Le Pen et autres ne représentent pas la majorité dans leurs pays. Et je pense que si l’on organisait un référendum du même type aux Pays-Bas ou en France, le « remain » l’emporterait.

Pourquoi ?
La critique de l’UE traverse quasi tous les Etats membres. Mais il n’y a pas une hostilité généralisée envers l’Union européenne, comme c’est le cas en Angleterre.

Ni contagion ni électrochoc. Quelle est la perspective, alors ? La paralysie ?
C’est le grand débat. Soit on saisit l’opportunité des négociations qui vont s’ouvrir avec le Royaume-Uni – qui vont prendre au moins deux ans – pour lancer un débat transnational sur les projets que l’on a envie de mener ensemble. Sans forcément changer les traités. Soit on rentre dans une forme d’apathie politique. Un trop-plein de crises.

On ne voit pas qui peut ou veut prendre le leadership…
Je suis régulièrement critique sur la relation franco-allemande au niveau européen. Ça peut être utile qu’ils se parlent. Mais ce n’est pas suffisant. Il est nécessaire pour la France comme pour l’Allemagne de prendre conscience de ce qu’est l’Europe du XXIe siècle : une Union où il n’y a pas que les pays fondateurs. Il serait extrêmement contre-productif qu’une initiative soit portée uniquement par ces pays. Il faudra certes l’Allemagne et la France, mais aussi, par exemple, un pays de chaque vague d’élargissement. C’est cette diversité qui reflète l’Union d’aujourd’hui. 

 

Retrouvez l'entretien dans son intégralité ci-dessous. 

 

Logo
logo_les echos start

Les jeunes Britanniques sont-ils aussi europhiles qu'on le dit ?

24 juin 2016
Accroche

“Les Britanniques ont depuis le départ noué une relation contractuelle plus que sentimentale avec l’UE. Et cette vision pragmatique est largement diffusée dans la société”, relève Vivien Pertusot de l’Ifri.

Les jeunes Anglais sont aussi moins incités à partir à l’étranger, notamment du fait de leurs lacunes en langues. Dans le système éducatif britannique,  l’encouragement à apprendre une seconde langue est souvent plus faible que la moyenne européenne, et l’apprentissage des langues y est globalement en déclin.

Lire l'article.
Image principale médiatique

Brexit : les leçons d'un cataclysme

24 juin 2016
Accroche
Prendre la mesure du tremblement de terre qui vient de se produire consiste d’abord à en mesurer la gravité. Cela suppose ensuite ne pas y apporter de fausses et insuffisantes réponse. Triomphe de la peur portée par les populistes, défaite de la raison défendue sans talent et inspiration par les partisans du statut-quo, révolte des « petits » contre les « nantis », début de la désintégration d'une Europe victime de sa bureaucratisation et de son manque d'incarnation. Toutes ces explications contiennent une part de vérité et contribuent, chacune à sa manière, à expliquer le tsunami politique qui vient de se produire.
 
Logo
ouestfrance.png

Jour J-1 à Londres : Bruxelles retient son souffle

22 juin 2016
Accroche

Un Brexit ouvrirait la voie à deux ans de tractations, minimum. Et en attendant ?« C'est le grand flou », commente Vivien Pertusot, de l'Institut français des relations internationales à Bruxelles. Les eurodéputés britanniques continueront de siéger et de voter sur tout, hormis sur les négociations les concernant. « Et le commissaire britannique Jonathan Hill, en charge des services financiers, pourrait garder son poste jusqu'aux élections de 2019... Ubuesque ! »

Logo
liberation.svg_.png

Brexit: ne craignons pas la contagion

20 juin 2016
Accroche

Les voix se multiplient en France et à l’étranger pour exprimer la peur d’une contagion en cas de Brexit. Qui serait le prochain à prendre la poudre d’escampette ? Cette lecture ignore la réalité des débats nationaux sur l’Union et, plutôt que de songer à la crainte d’un effet domino, il faudrait accueillir l’effet de contagion de la critique de l’Union. C’est une opportunité à saisir tant l’Union européenne (UE) n’est pas débattue et les seuls arguments la concernant sont laissés à ses opposants.

Lire la tribune

Logo
logo_la_croix.png

Brexit : Le retrait de l’Union européenne se ferait pas à pas

19 juin 2016
Accroche

La consultation historique de jeudi 23 juin dans le Royaume-Uni oblige l’Union européenne à se projeter dans l’hypothèse très plausible du départ d’un État, pour la première fois de son histoire. L’occasion de se réinventer ? « Si le Royaume-Uni sort, Bruxelles mettra en place une stratégie d’autodéfense. Il s’agit de ne pas être conciliant, d’imposer une ligne dure, afin d’éviter les contagions » explique Vivien Pertusot. 

Lire l'article

Image principale médiatique

Brexit : panique dans le camp du « in »

16 juin 2016
Accroche

Les derniers sondages ont eu l'effet d'une petite bombe dans la campagne du référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne. Depuis une semaine, la majorité des enquêtes donnent le camp pro-Brexit en tête, ce qui force ses adversaires à mettre les bouchées doubles dans une campagne qui peine à convaincre l'électorat. L'analyse de Philippe Moreau Defarges, chercheur à l'Institut français des relations internationales (IFRI) et professeur à l'Institut d'études politiques de Paris.

Soutenez une recherche française indépendante

L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.

Conférence Ramses 2024
Centres et programmes liés
Image principale
Drapeaux France, Autriche, Union Européenne
Centre franco-autrichien pour le rapprochement en Europe (CFA)
Accroche centre

Le Centre franco-autrichien pour le rapprochement en Europe (CFA/ÖFZ) est une organisation intergouvernementale franco-autrichienne, initiée en 1976 par le Premier ministre Jacques Chirac et le chancelier fédéral Bruno Kreisky, afin de développer les relations économiques entre l’Europe de l’Ouest et l’Europe de l’Est, et contribuer à créer une Europe de la paix.

 

Après la chute du Mur de Berlin, le CFA a recentré son action sur les problèmes de l’élargissement de l’Union européenne (UE) et intégré dans son champ d’activité le Hongrie et la Pologne, les Républiques tchèque et slovaque, la Slovénie, les Pays baltes, ainsi que la Roumanie et la Bulgarie. La vocation du CFA comme espace de réflexion et d’échange se trouve en effet renforcée par le besoin d’accompagnement des nouveaux pays membres de l’Union dans leur processus d’intégration. Depuis 2004, le CFA se tourne également vers les nouveaux voisins de l’Union, en particulier vers les pays des Balkans de l’ouest, qui envisagent leur avenir dans une perspective européenne.

 

Le CFA s’efforce d’inscrire l’ensemble de ses échanges dans une perspective globale concernant l’avenir de notre continent. Il centre aujourd’hui ses activités autour de trois directions : le dialogue bilatéral franco-autrichien, l’avenir de l’UE, la future recomposition du continent.

 

Les comptes rendus de toutes les manifestations organisées par le CFA sont disponibles sur son site (http://oefz.at). Le budget du CFA est assuré par les ministères des Affaires étrangères français et autrichien. En fonction des thèmes abordés, le CFA fait appel à des institutions publiques et privées européennes pour contribuer au financement de ses rencontres.

 

Les orientations du CFA bénéficient des préconisations d’un Conseil d’orientation, approuvées par un Conseil de direction, qui élit parmi ses membres un président et un secrétaire général. 

Image principale
Der Pariser Platz auf der Ostseite des Brandenburger Tors in Berlin, Deutschland
Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa)
Accroche centre

Le Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) a été créé en 1954 par un accord intergouvernemental entre la République fédérale d’Allemagne et la France, afin de mieux faire connaître l'Allemagne en France et analyser les relations franco-allemandes y compris dans leurs dimensions européennes et internationales. Dans ses conférences et séminaires, qui réunissent experts, responsables politiques, hauts décideurs et représentants de la société civile des deux pays, le Cerfa développe le débat franco-allemand et suscite les propositions politiques. Il publie régulièrement des études à travers deux collections : les « Notes du Cerfa » et les « Visions franco-allemandes ». 

Le Cerfa entretient des relations étroites avec le réseau des fondations et des think tanks allemands. En plus de ses activités de recherche et de débat, le Cerfa promeut l’émergence d’une nouvelle génération franco-allemande à travers des programmes de coopération originaux. C'est ainsi qu'en 2021-2022, le Cerfa a conduit un programme sur le multilatéralisme avec la Fondation Konrad Adenauer de Paris. Ce programme s'adresse à des jeunes professionnels des deux pays intéressés par les enjeux du multilatéralisme dans le contexte de leurs activités. Il a couvert une large gamme de thèmes relatifs au multilatéralisme, tel que le commerce international, la santé, les droits de l’homme et la migration, la non-prolifération et le désarmement. Auparavant, le Cerfa avait participé au dialogue d’avenir franco-allemand, co-piloté de 2007 à 2020 avec la Deutsche Gesellschaft für auswärtige Politik (DGAP) et soutenu par la Fondation Robert Bosch, ou encore le groupe Daniel Vernet (anciennement Groupe de réflexion franco-allemand) qui avait été fondé en 2014 à l’initiative de la Fondation Genshagen.

Crédits image de la page
Drapeau de l’UE devant le bâtiment du Parlement européen. Bruxelles, Belgique
symbiot/Shutterstock