Politique étrangère des États-Unis
Les présidences récentes souhaitent restructurer la politique étrangère américaine autour de l'opposition à la Chine. L'administration Biden cherche à revitaliser les alliances (AUKUS, Union européenne) et à gérer au mieux les crises en Ukraine et au Moyen-Orient.
Les républicains et la politique étrangère américaine : quelles perspectives pour 2016 ?
Les prétendants à l’investiture républicaine pour les présidentielles de 2016 vont devoir développer un agenda clair en matière de politique étrangère. Alors qu’un débat crucial oppose aujourd’hui unilatéralistes et internationalistes sur la ligne idéologique la plus pertinente à adopter pour le Parti, les candidats devront choisir entre les différents courants qui existent au sein de la droite américaine sur ces questions. C’est à ce prix qu’une candidature crédible pourra se dégager.
L'avenir du leadership américain : entre renouvellement et délégation
Afin de préserver leur leadership mondial, les Etats-Unis ont engagé un double rééquilibrage, à la fois géostratégique, tel qu’illustré par le " pivot vers l’Asie ", et de moyens, l’administration Obama mettant en avant la place de la diplomatie et de l’économie (economic statecraft), les usages indirects de la force militaire, et prônant un dialogue renforcé avec de nouveaux acteurs. Dans ce cadre, la relation transatlantique revêt une dimension d’autant plus forte que les Américains comptent sur l’Europe pour exercer ses propres responsabilités.
Un an avant les élections : quelles chances pour un second mandat?
Devenues un rendez-vous de référence pour comprendre les Etats-Unis, nos conférences de décembre accueillent des experts de renom, américains et français. Pour la dixième édition de cet événement, les discussions ont porté sur la spécificité et l'impact du système judiciaire américain vis-à-vis du reste du monde, la campagne pour les élections présidentielles de 2012, la situation économique du pays entre dette et récession, et l'évolution des attitudes américaines par rapport aux bouleversements du monde arabe et musulman.
La politique américaine vis à vis de la révolution tunisienne
Une nouvelle page de l'histoire des pays arabes est en train de s'écrire sous nos yeux. Le point de départ en a été le geste désespéré du jeune Mohamed Bouazizi le 17 décembre 2010 à Sidi Bouzid qui a mené à la journée historique du 14 janvier 2011 et au renversement du régime Ben Ali. L'administration Obama est maintenant clairement consciente de l'importance de l'enjeu de la réussite de l'expérience tunisienne à l'échelle de l'ensemble des pays arabes. Du discours du Caire en juin 2009 à celui du département d'État de mai 2011, le président Obama a indiqué qu'il prenait conscience de l'importance de l'enjeu démocratique dans les pays arabes. L'enjeu est que ces évolutions mènent à des régimes qui soient plus respectueux des aspirations légitimes des peuples arabes. Le président Obama et son administration paraissent résolus à ce que les États-Unis agissent en conformité avec ces aspirations.
Les aléas d'une politique non annoncée et ses acteurs
Intervention à la conférence " Les États-Unis et le monde arabe " du 23 mai 2011 organisée par le programme Maghreb/Moyen-Orient de l'Ifri.
L'exceptionnalisme américain constitue une entrave sérieuse à l'exercice de l de la diplomatie. Les rapports de Washington avec les autres nations sont inévitablement marqués par cette conviction inhérente des citoyens américains, des leaders autant que des autres, que les États-Unis sont voués à un destin providentiel et demeurent un phare pour le reste de l'humanité : la " ville qui brille sur la montagne ". En témoignent de nombreux exemples.
Le "regime change", de George Bush à Barack Obama
En 2009, le président Barack Obama hérite d’un monde arabe figé et il se contentera jusqu’au début des révoltes arabes du statu quo, malgré son discours du Caire de juin 2009 qui visait à briser « ce cycle de la méfiance et de la discorde ». S’écartant du discours sur la démocratisation trop associée à la « guerre contre le terrorisme » et à l’idéologie néoconservatrice qui a constitué le cadre théorique de l’intervention militaire en Irak de 2003, il s’est engagé à rebâtir les relations entre les États-Unis et l’Égypte de Hosni Moubarak mais aussi à « tendre la main » à la Syrie et l’Iran. La chute du régime de Moubarak et la répression violente par le régime iranien de la « révolution verte » en 2010 et des manifestants par le régime syrien en 2011 signalent avec brutalité l’échec de ces politiques.
Après les Midterms : les perspectives de l'administration Obama
Un mois après les élections de mi-mandat, le programme Etats-Unis de l’Ifri a fait le point sur les perspectives de l’Administration Obama : sur les réformes qu'elle pourrait accomplir avant 2012 ainsi que sur la façon dont l'opposition conservatrice et républicaine allait se reconfigurer avant 2012.
L'ONU survivra-t-elle en 2034?
Le futur de l’ONU dépend au premier chef des grandes puissances : quelles seront-elles demain, quels seront leurs choix? Dans tous les scénarios pourtant, les États-Unis occupent une place centrale: qu’ils gardent leur prééminence et maintiennent leur politique actuelle de marginalisation de l’ONU et du droit international; que Washington doive s’accommoder de l’émergence d’autres pôles de puissance; ou qu’elle réalise qu’il est de son intérêt de renforcer les Nations unies.
Les impasses de la contre-insurrection
Les nouvelles recommandations des généraux américains pour faire face à l’insurrection irakienne risquent de s’avérer vaines. Celles-ci traduisent en effet les réticences des responsables politiques américains à gouverner directement les territoires envahis. Pourtant, les recettes d’une contre-insurrection réussie sont connues. Elles sont applicables en Irak comme sur d’autres théâtres, mais le refus éthique et inévitable de les mettre en œuvre place les occupants dans une situation difficile.
Politique étrangère et politique intérieure aux Etats-Unis : la parenthèse du XXe siècle ?
En 1917, les États-Unis intervenaient, pour la première fois de leur histoire, dans un conflit européen, rompant avec plus d’un siècle d’isolement. Pourtant, la doctrine de Monroe n’a pas cessé de hanter la conscience des Américains, qui regrettent ces temps idylliques où ils se sentaient protégés, de par leur Constitution, des troubles affaires des autres nations. Cette attitude connaît un regain de vigueur depuis la fin de la guerre froide, l’opposition frontale entre les deux blocs ne justifiant plus ni l’intervention permanente des États-Unis dans les problèmes du globe, ni la prééminence du président américain dans la conduite de la politique étrangère. Soit autant d’entorses aux principes constitutionnels d’une Amérique où les mécanismes régissant la politique intérieure déterminent, plus que dans tout autre pays, la politique extérieure.
Un an avant les élections : quelles chances pour un second mandat?
Devenues un rendez-vous de référence pour comprendre les Etats-Unis, nos conférences de décembre accueillent des experts de renom, américains et français. Pour la dixième édition de cet événement, les discussions ont porté sur la spécificité et l'impact du système judiciaire américain vis-à-vis du reste du monde, la campagne pour les élections présidentielles de 2012, la situation économique du pays entre dette et récession, et l'évolution des attitudes américaines par rapport aux bouleversements du monde arabe et musulman.
La politique américaine vis à vis de la révolution tunisienne
Une nouvelle page de l'histoire des pays arabes est en train de s'écrire sous nos yeux. Le point de départ en a été le geste désespéré du jeune Mohamed Bouazizi le 17 décembre 2010 à Sidi Bouzid qui a mené à la journée historique du 14 janvier 2011 et au renversement du régime Ben Ali. L'administration Obama est maintenant clairement consciente de l'importance de l'enjeu de la réussite de l'expérience tunisienne à l'échelle de l'ensemble des pays arabes. Du discours du Caire en juin 2009 à celui du département d'État de mai 2011, le président Obama a indiqué qu'il prenait conscience de l'importance de l'enjeu démocratique dans les pays arabes. L'enjeu est que ces évolutions mènent à des régimes qui soient plus respectueux des aspirations légitimes des peuples arabes. Le président Obama et son administration paraissent résolus à ce que les États-Unis agissent en conformité avec ces aspirations.
Les aléas d'une politique non annoncée et ses acteurs
Intervention à la conférence " Les États-Unis et le monde arabe " du 23 mai 2011 organisée par le programme Maghreb/Moyen-Orient de l'Ifri.
L'exceptionnalisme américain constitue une entrave sérieuse à l'exercice de l de la diplomatie. Les rapports de Washington avec les autres nations sont inévitablement marqués par cette conviction inhérente des citoyens américains, des leaders autant que des autres, que les États-Unis sont voués à un destin providentiel et demeurent un phare pour le reste de l'humanité : la " ville qui brille sur la montagne ". En témoignent de nombreux exemples.
Le "regime change", de George Bush à Barack Obama
En 2009, le président Barack Obama hérite d’un monde arabe figé et il se contentera jusqu’au début des révoltes arabes du statu quo, malgré son discours du Caire de juin 2009 qui visait à briser « ce cycle de la méfiance et de la discorde ». S’écartant du discours sur la démocratisation trop associée à la « guerre contre le terrorisme » et à l’idéologie néoconservatrice qui a constitué le cadre théorique de l’intervention militaire en Irak de 2003, il s’est engagé à rebâtir les relations entre les États-Unis et l’Égypte de Hosni Moubarak mais aussi à « tendre la main » à la Syrie et l’Iran. La chute du régime de Moubarak et la répression violente par le régime iranien de la « révolution verte » en 2010 et des manifestants par le régime syrien en 2011 signalent avec brutalité l’échec de ces politiques.
Après les Midterms : les perspectives de l'administration Obama
Un mois après les élections de mi-mandat, le programme Etats-Unis de l’Ifri a fait le point sur les perspectives de l’Administration Obama : sur les réformes qu'elle pourrait accomplir avant 2012 ainsi que sur la façon dont l'opposition conservatrice et républicaine allait se reconfigurer avant 2012.
Les impasses de la contre-insurrection
Les nouvelles recommandations des généraux américains pour faire face à l’insurrection irakienne risquent de s’avérer vaines. Celles-ci traduisent en effet les réticences des responsables politiques américains à gouverner directement les territoires envahis. Pourtant, les recettes d’une contre-insurrection réussie sont connues. Elles sont applicables en Irak comme sur d’autres théâtres, mais le refus éthique et inévitable de les mettre en œuvre place les occupants dans une situation difficile.
L'ONU survivra-t-elle en 2034?
Le futur de l’ONU dépend au premier chef des grandes puissances : quelles seront-elles demain, quels seront leurs choix? Dans tous les scénarios pourtant, les États-Unis occupent une place centrale: qu’ils gardent leur prééminence et maintiennent leur politique actuelle de marginalisation de l’ONU et du droit international; que Washington doive s’accommoder de l’émergence d’autres pôles de puissance; ou qu’elle réalise qu’il est de son intérêt de renforcer les Nations unies.
Politique étrangère et politique intérieure aux Etats-Unis : la parenthèse du XXe siècle ?
En 1917, les États-Unis intervenaient, pour la première fois de leur histoire, dans un conflit européen, rompant avec plus d’un siècle d’isolement. Pourtant, la doctrine de Monroe n’a pas cessé de hanter la conscience des Américains, qui regrettent ces temps idylliques où ils se sentaient protégés, de par leur Constitution, des troubles affaires des autres nations. Cette attitude connaît un regain de vigueur depuis la fin de la guerre froide, l’opposition frontale entre les deux blocs ne justifiant plus ni l’intervention permanente des États-Unis dans les problèmes du globe, ni la prééminence du président américain dans la conduite de la politique étrangère. Soit autant d’entorses aux principes constitutionnels d’une Amérique où les mécanismes régissant la politique intérieure déterminent, plus que dans tout autre pays, la politique extérieure.
Donald Trump va-t-il mettre fin au rêve américain avec sa guerre commerciale ?
Le 20 janvier, lors de son investiture, le président états-unien avait déclaré que le « droit de douane est le plus beau mot du dictionnaire ». Ce mercredi 2 avril, comme Donald Trump l'a annoncé, ce sera « Liberation Day », le « jour de la libération » aux États-Unis. Qu'est-ce que cela veut dire ?
Donald Trump : quelles sont les conséquences des droits de douane imposés par les États-Unis ?
Depuis son élection, Donald Trump utilise les droits de douanes comme outil de pression diplomatique. Une stratégie qui remet en question le système de mondialisation qui a dominé le monde ces dernières décennies. Cela soulève des questions sur l'avenir de la croissance mondiale et ses conséquences pour l'Europe et la France.
Trump : le grand chamboule-tout
« Tôt ou tard, Vladimir Poutine devra venir à la table des négociations ». C'est en ces termes que le premier ministre britannique, Keir Starmer, a démarré aujourd'hui son sommet par visioconférence avec vingt-cinq dirigeants alliés de l’Ukraine. Si Volodymyr Zelensky a accepté sans conditions un cessez-le-feu de trente jours, le maître du Kremlin semble en effet vouloir faire durer les choses. Poutine a prévenu qu’il restait des « questions importantes » avant un cessez-le-feu, au grand dam de Donald Trump qui veut que Moscou fasse taire les armes au plus vite. Sur le terrain, les troupes russes ont maintenant l'avantage après avoir repris des territoires contrôlés par l'Ukraine dans la région russe de Koursk.
Poutine : "La Russie soutient la trêve"
L’accord de cessez-le-feu conclu mardi entre l’Ukraine et les États-Unis attend toujours l’aval russe alors que sur le front, la trêve semble encore loin, notamment dans la région russe de Koursk, en partie envahie par l’armée ukrainiens depuis août 2024 et que les Russes sont en train de reprendre. C’est dans ce territoire frontalier de l’Ukraine que Vladimir Poutine a effectué une rare visite sur le terrain mercredi soir.
Guerre en Ukraine: "Nous sommes entrés dans une nouvelle guerre froide", estime Thierry de Montbrial
Thierry de Montbrial, fondateur et président de l'Ifri, auteur de “L'ère des affrontements. Les grands tournants géopolitiques" est l'invité de Good Morning Business sur BFM Business le 12 mars 2025. Il a été interrogé sur les tensions géopolitiques depuis quelques semaines, avec l'intensification des combats en Ukraine et l'arrivée au pouvoir de Donald Trump.
Dans le marécage des droits de douane
Les droits de douane de 25% sur l'acier et l'aluminium voulus par Donald Trump sont entrés en vigueur mercredi 12 mars. Face à cette annonce l'UE annonce des mesures de rétorsion d'une valeur similaire mi-avril. Comment comprendre les coups de mentons de Donald Trump ? Décryptages avec Sébastien Jean, professeur d'économie au Conservatoire National des Arts et Métiers et directeur associé de l'Initiative géoéconomie et géofinance de l'Ifri (Institut français des relations internationales).
Taxes : l'arme fatale de Trump
Donald Trump doit signer, ce samedi 1er février, le décret qui instaure une nouvelle taxe douanière de 25% pour les produits venant du Canada et du Mexique. La Chine écope d'une hausse de 10%. Le président américain l'a répété, ce sera bientôt le tour des Européens. Ces nouveaux droits de douane ont évidemment un autre but, celui d'obtenir des concessions de la part de ces pays. Pour l'instant, aucun de ces pays concernés n'a pris de mesures de rétorsions contre les États-Unis.
De Biden à Trump, un continuum pour empêcher l’hégémonie technologique chinoise
Les Etats-Unis multiplient les restrictions pour éviter que la Chine devienne le géant mondial de la technologie, ou au moins pour ralentir ce mouvement, au détriment parfois des entreprises américaines.
« L’Europe risque de devenir un terrain de jeu » : le Vieux continent menacé par le duo Trump - Musk ?
Volonté d’envahir le Groenland, d’intégrer le Canada aux États-Unis, ingérence dans les démocraties européennes… Donald Trump et Elon Musk multiplient les déclarations hostiles. S’agit-il d’un coup d’épée dans l’eau ou de l’émergence d’un nouvel ordre mondial ? Décryptage de Thomas Gomart, directeur de l’Institut français des relations internationales (Ifri).
CPI : qui peut arrêter Netanyahou ?
Ce 21 novembre, la Cour pénale internationale a délivré trois mandats d’arrêt, dont l'un vise le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Cette procédure judiciaire est-elle une victoire symbolique pour les Palestiniens ou peut-elle avoir des conséquences concrètes sur le conflit à Gaza ? L'inculpation de Benjamin Netanyahou par la CPI pourrait avoir une influence sur le cours du conflit. L'autre information du jour au Proche-Orient est la possibilité d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, qui serait en voie d'être finalisé. En quoi consisterait cet accord ?
Ukraine : 1004 jours de guerre et 20 ans d’émancipation
Le 21 novembre, l'Ukraine a célébré la Journée de la dignité et de la liberté commémorant deux des plus grandes manifestations de son histoire moderne : la révolution orange en 2004 et l'Euromaïdan en 2013. Alors que le pays est en guerre depuis plus de 1000 jours, que reste-t-il de ces idéaux ?
Et si on mettait vraiment les moyens ? Imaginer une défense à 3 ou 4% du PIB
Alors que le probable désengagement américain risque de forcer les pays européens à augmenter leurs budgets de défense, le Collimateur se demande à quoi ressemblerait une telle hausse, avec Élie Tenenbaum (Ifri) et Julien Malizard (Chaire Ecodef-IHEDN).
Audition parlementaire. Trump 2024 : quelles conséquences sur les relations internationales ?
Audition de Laurence Nardon, responsable du Programme Amériques de l'Ifri, Alexandra de Hoop Scheffer, présidente du German Marshall Fund et Célia Belin, directrice du bureau parisien de l’European Council on Foreign Relations (ECFR), par la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, le mercredi 6 novembre 2024, sur le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et les conséquences sur les relations internationales.
Comment les États-Unis perçoivent-ils le reste du monde en 2024 ?
Dans quelques jours, le peuple américain choisira son nouveau président ou sa nouvelle présidente, pour les quatre prochaines années. Cette campagne, minutieusement scrutée, est considérée comme l’une des plus serrées de la décennie.
Harris/Trump : veillée d'armes
Le monde selon l'Ifri - Épisode spécial élection présidentielle américaine 2024
Dans cet épisode, nous recevons Laurence Nardon, responsable du programme Amériques de l'Ifri et auteure de Géopolitique de la puissance américaine (PUF). À seulement quelques jours de l'élection présidentielle américaine qui oppose Kamala Harris à Donald Trump, elle partage avec nous son analyse exclusive après un séjour à Washington.
Biden face aux crises internationales
Comment Joe Biden gère-t-il les crises internationales ? Crise russo-ukrainienne, Afghanistan, montée en puissance de la Chine, velléités iraniennes sur le nucléaire… Laurence Nardon analyse les défis internationaux de l’administration Biden.
L’administration Biden dans la tourmente (replay vidéo)
Pour sa 20ème édition, la conférence annuelle de l'Ifri sur les Etats-Unis a réuni un premier panel sur la politique intérieure américaine et un second sur les évolutions de la puissance commerciale du pays. Un échange entre Thierry de Montrbrial et Henry Kissinger, 56ème secrétaire d'état des Etats-Unis, a conclu la journée. Retrouvez ci-dessous les présentations des intervenants en vidéo.
Politique étrangère n° 3/2021 - Europe/États-Unis : 50 nuances de dépendance
Le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 3/2021) vient de sortir ! À la une de ce nouveau numéro deux dossiers : Europe/États-Unis : 50 nuances de dépendance et L'économie contre le climat ?
Quelle politique étrangère pour le président Biden ?
Audition de Laurence Nardon, responsable du programme Amérique du Nord à l'Institut français des relations internationales (IFRI), par la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, le 31 mars 2020, conjointement avec Corentin Sellin, professeur agrégé d'histoire et spécialiste des Etats-Unis.
The Biden Administration: What Consequences for Allies? Views from Japan and France
The US allies greeted the election of Joe Biden with relief, but also with expectations.
L'Amérique de Joe Biden : le calme après la tempête ?
Au lendemain des élections présidentielles américaines de novembre, le programme Amérique du Nord de l'Ifri a organisé la 19ème édition de sa conférence annuelle sur les Etats-Unis.
Comment avance la formation du gouvernement libanais ?
Dorothée Schmid, responsable du programme Moyen-Orient est intervenue lors d'une visioconférence du think tank italien ISPI et du Malcolm H. Kerr Carnegie Middle East Center pour parler du gouvernement libanais actuel et des politique étrangères française et américaine dans le pays.
L'Amérique et le multilatéralisme : Retour à l'âge d'or
Le directeur de l'Ifri, Thomas Gomart, a modéré un débat organisé par le Forum de Paris sur la Paix sur la politique étrangère américaine suite aux élections.
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L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.