Afrique du Nord et Moyen-Orient
Analyse de l’évolution des dynamiques dans la région Afrique du Nord/Moyen-Orient dans un contexte de multiplication des crises sécuritaires et de leurs conséquences politiques, économiques et énergétiques.
Sujets liés
Guerre d'Ukraine : où en est l'économie russe ?
L'économie russe a résisté à la guerre et aux sanctions occidentales : elle a maintenu ses exportations, son tissu d'entreprises a démontré un clair dynamisme et la population tient en partie grâce aux dépenses de l'État.
L'Iran frappe Israël : le monde retient son souffle
Au lendemain d'une attaque iranienne inédite sur Israël, comment la situation au Moyen-Orient peut-elle évoluer ? Bien que la salve de missiles balistiques tirés sur le territoire israélien n'ait pas fait de dégâts graves, l'Etat hébreu peut-il ne pas répondre ?
La France a-t-elle encore une politique arabe?
Dès la fin de la guerre d’Algérie, la France a systématiquement repris contact avec les pays arabes qui avaient rompu les relations diplomatiques au moment de la malheureuse expédition de Suez de 1956. Ainsi se sont renouées ou nouées des relations actives et souvent confiantes, y compris avec des pays où elle était absente, comme les émirats du Golfe. Le président Chirac a voulu formaliser et conforter cette orientation lorsque le 6 mars 1996, à l’université du Caire, il a évoqué la « politique arabe et méditerranéenne » de la France. Par-delà quelques principes communs, il s’agissait naturellement d’une politique à géométrie variable selon les pays, avec la volonté d’être présent dans cet ensemble de pays qui sont nos voisins proches, situés dans une zone stratégique et dont d’importantes communautés vivent en France. Très tôt attachée à contribuer à la paix entre Israël et les pays arabes, la France prône une politique équilibrée entre le maintien de la sécurité d’Israël et le soutien du processus de paix israélo-palestinien qui donnerait le droit à l’autodétermination des Palestiniens et à la création d’un État. À cet égard, l’année 2007 représente une rupture due à l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy qui sur ce plan, comme sur d’autres, a pris le contre-pied de son prédécesseur. Depuis lors, la politique de la France dans cette région n’a plus la même priorité, réagit plus qu’elle n’agit et semble flotter entre une volonté de maintenir ses liens avec les pays arabes et une certaine complaisance à l’égard d’Israël.
France/Maghreb : une relation tumultueuse
Les relations avec le Maghreb, anciennes et marquées du sceau de la colonisation, restent difficiles alors qu’il s’agit pour la France d’une région prioritaire pour sa politique étrangère, où elle continue d’avoir une place majeure dans les domaines politique, économique et culturel, même si celle-ci est en déclin relatif. Le ministère des Affaires étrangères envoie des diplomates confirmés dans ces pays, dont la diaspora installée en France reste très proche. La relation se complique dès lors que le Maroc, l’Algérie et dans une moindre mesure la Tunisie, entrent en conflit. L’objectif de notre politique est d’avoir des relations étroites et confiantes avec ces trois pays, d’où la pression migratoire est forte. La question des visas demeure d’ailleurs un dossier très sensible, comme l’ont montré les vives réactions à la décision française prise en septembre 2021 d’en réduire le nombre de 50 %.
« Alors que le bruit des bottes résonne à nouveau pour les Libanais, nous nous trouvons à un point de bascule géopolitique »
Vers une escalade régionale au Proche-Orient ?
Première édition spéciale de RFI, au lendemain de l'annonce de la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, présentée par Julien Coquelle-Roëhm, avec : Héloïse Fayet, chercheuse à l’Institut français des relations internationales (Ifri), spécialiste de l’Iran et Adel Bakawan, chercheur associé à l’Ifri, spécialiste du Moyen-Orient.
La renaissance du Parti républicain du peuple (CHP). Phœnix ou chimère ?
Sa victoire aux élections municipales turques de mars 2024 a confirmé le Parti républicain du peuple [CHP – Cumhuriyet Halk Partisi] dans son rôle de premier parti d’opposition face au Parti de la justice et du développement [AKP – Adalet ve Kalkınma Partisi], le mouvement islamo-conservateur au pouvoir depuis 2002.
"Une guerre entre Israël et le Hezbollah serait une catastrophe pour les États-Unis et Joe Biden"
Dominique David, conseiller du président de l'Ifri, présente l'édition 2025 du RAMSES. Les équilibres internationaux sont profondément déréglés et les puissances dominantes semblent impuissantes à parer à la fragmentation du monde. Peut-on dire qu'au Moyen-Orient cette impuissance se manifeste aujourd'hui de la manière la plus tangible ?
L'IA s'en va-t-en guerre
Quelles sont les principales innovations apportées par l'IA dans les guerres qui se déroulent en Ukraine et à Gaza ? Quels risques ces développements posent-ils pour les guerres du futur ? Quelle place pour le droit international face à l'essor des armes autonomes ?
Ukraine – Israël/Gaza : quelles sorties de guerre ?
Que nous dit la guerre d'Ukraine sur l'évolution possible des grands rapports internationaux ? Quelles perspectives de ce conflit dans les prochains mois ? Quelle sortie de guerre ?
Gaza : l’après-guerre favorisera-t-elle la paix ?
Après dix mois de guerre, la perspective d’une paix entre Israël et Gaza reste difficilement envisageable. Depuis le plan de paix avancé par Joe Biden, Israël comme le Hamas expriment leur accord de principe, mais les négociations patinent sur les conditions pour parvenir au cessez-le-feu.
La France a-t-elle encore une politique arabe?
Dès la fin de la guerre d’Algérie, la France a systématiquement repris contact avec les pays arabes qui avaient rompu les relations diplomatiques au moment de la malheureuse expédition de Suez de 1956. Ainsi se sont renouées ou nouées des relations actives et souvent confiantes, y compris avec des pays où elle était absente, comme les émirats du Golfe. Le président Chirac a voulu formaliser et conforter cette orientation lorsque le 6 mars 1996, à l’université du Caire, il a évoqué la « politique arabe et méditerranéenne » de la France. Par-delà quelques principes communs, il s’agissait naturellement d’une politique à géométrie variable selon les pays, avec la volonté d’être présent dans cet ensemble de pays qui sont nos voisins proches, situés dans une zone stratégique et dont d’importantes communautés vivent en France. Très tôt attachée à contribuer à la paix entre Israël et les pays arabes, la France prône une politique équilibrée entre le maintien de la sécurité d’Israël et le soutien du processus de paix israélo-palestinien qui donnerait le droit à l’autodétermination des Palestiniens et à la création d’un État. À cet égard, l’année 2007 représente une rupture due à l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy qui sur ce plan, comme sur d’autres, a pris le contre-pied de son prédécesseur. Depuis lors, la politique de la France dans cette région n’a plus la même priorité, réagit plus qu’elle n’agit et semble flotter entre une volonté de maintenir ses liens avec les pays arabes et une certaine complaisance à l’égard d’Israël.
France/Maghreb : une relation tumultueuse
Les relations avec le Maghreb, anciennes et marquées du sceau de la colonisation, restent difficiles alors qu’il s’agit pour la France d’une région prioritaire pour sa politique étrangère, où elle continue d’avoir une place majeure dans les domaines politique, économique et culturel, même si celle-ci est en déclin relatif. Le ministère des Affaires étrangères envoie des diplomates confirmés dans ces pays, dont la diaspora installée en France reste très proche. La relation se complique dès lors que le Maroc, l’Algérie et dans une moindre mesure la Tunisie, entrent en conflit. L’objectif de notre politique est d’avoir des relations étroites et confiantes avec ces trois pays, d’où la pression migratoire est forte. La question des visas demeure d’ailleurs un dossier très sensible, comme l’ont montré les vives réactions à la décision française prise en septembre 2021 d’en réduire le nombre de 50 %.
La renaissance du Parti républicain du peuple (CHP). Phœnix ou chimère ?
Sa victoire aux élections municipales turques de mars 2024 a confirmé le Parti républicain du peuple [CHP – Cumhuriyet Halk Partisi] dans son rôle de premier parti d’opposition face au Parti de la justice et du développement [AKP – Adalet ve Kalkınma Partisi], le mouvement islamo-conservateur au pouvoir depuis 2002.
DOSSIER RAMSES 2025 N° 1 – Moyen-Orient : la recomposition sans fin
Au Moyen-Orient, les acteurs directs du conflit semblent incapables d'en revenir à un dialogue politique, tandis que les acteurs voisins manoeuvrent au fil de leurs intérêts d'État, à la recherche d'une introuvable recomposition régionale. Les puissances extérieures pèsent-elles vraiment ?
Israël-Palestine : quelles géographies ?
Les attaques du 7 octobre 2023, puis la réponse israélienne sur Gaza éclairent dramatiquement l’absence continue de solution pour la coexistence de deux peuples sur un même territoire. L’hypothèse d’un État unique est rejetée des deux côtés. Mais la géographie de la colonisation israélienne rend presque impossible l’inscription territoriale d’un État palestinien. Sauf à modifier profondément, par une décision israélienne sous pression internationale éventuelle, l’implantation coloniale en Cisjordanie.
Israël-Palestine, trente ans après Oslo
Il y a trente ans : les accords d’Oslo. Comment expliquer l’impasse cruellement matérialisée par les événements ouverts le 7 octobre 2023 ?
Un regard palestinien sur les accords d'Oslo
L'accord d'Oslo de 1993 consistait en un énoncé des principes devant gouverner la mise en place d'une autonomie transitoire en Cisjordanie et à Gaza, et devait être suivi par des textes d'application.
Trente ans après les accords d’Oslo : une perspective israélienne
Les accords d'Oslo, signés en 1993, ont suscité de grands espoirs de paix au Proche-Orient.
L’Iran, grand gagnant de la politique chinoise au Moyen-Orient ?
Le 10 mars dernier, la révélation d’un accord entre l’Arabie saoudite et l’Iran obtenu via une médiation chinoise prend par surprise les observateurs et diplomates occidentaux. Sans précédent, l’intervention de Pékin dans le contentieux opposant Riyad et Téhéran confirme ses ambitions grandissantes à l’égard de la région.
L'impasse nucléaire iranienne : la non-prolifération au défi de crises multiples. L'impact de la guerre en Ukraine et des manifestations sur le retour au JCPOA
Les négociations pour le retour à l’accord sur le nucléaire iranien sont au point mort. Si de nombreux facteurs bloquants propres au dossier sont connus de longue date, tels que le règlement de contentieux avec l’Agence internationale de l’énergie atomique ou le manque de confiance de l’Iran envers les États-Unis, d’autres sont apparus courant 2022.
« Alors que le bruit des bottes résonne à nouveau pour les Libanais, nous nous trouvons à un point de bascule géopolitique »
Ukraine – Israël/Gaza : quelles sorties de guerre ?
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Les nouvelles violences qui bousculent notre monde
En prévision du Forum mondial Normandie pour la paix, The Conversation organisait le 20 juin 2024 un webinaire sur les nouvelles violences qui bousculent le monde.
Guerre Hamas-Israël : Pourquoi les pressions internationales n'ont-elles pas plus d'effet ?
Dans le cadre de la guerre entre le Hamas et Israël, Benyamin Nétanyahou a rappelé récemment son refus d'appliquer des solutions imposées par la communauté internationale. Alors que les demandes de "cessez-le-feu" abondent, quel poids a la société internationale dans la résolution de ce conflit ?
Israël - Hamas, 4 mois après, le conflit dans l'impasse ?
Le 7 octobre, le Hamas déclenchait une attaque contre Israël, entrainant la mort de 1 200 personnes. En représailles, Israël a juré de détruire le Hamas et lancé une offensive qui a fait 27 708 morts. Doit-on craindre une régionalisation du conflit ? Comment réagit la communauté internationale ?
Tensions États-Unis-Iran : une escalade régionale sous contrôle… pour l’instant ?
Depuis la mi-octobre et le début de la riposte israélienne à Gaza, les forces américaines présentes en Irak, en Syrie et en Jordanie sont régulièrement la cible d’attaques de drones ou de tirs de roquette. Aucun soldat n’avait perdu la vie au cours de ces raids, jusqu'au dimanche 28 janvier : trois d'entre eux ont été tués dans le nord-est de la Jordanie.
Guerre Israël - Hamas: les cinq scénarios du Proche-Orient
Comment imaginer le "jour d’après", alors que la guerre fait rage à Gaza, que les bombes pleuvent sur le sud de cette étroite bande de terre et que l’espoir de nouvelles libérations d’otages s’éloigne avec la fin de la trêve ? Il y aura pourtant un lendemain, même si aucune des deux parties n’est encore en mesure de l’envisager.
L'influence de la Russie et de la Chine tend à supplanter celle des Etats Unis et de l'Europe
Dans le cadre de notre couverture de la guerre de Gaza et de ses enjeux, L’Orient-Le-Jour a mené une série d’entretiens avec des experts sur cette reconfiguration régionale. Nouvel épisode avec Denis Bauchard, ancien ambassadeur, ancien directeur de la zone Afrique du Nord-Moyen-Orient au ministère français des Affaires étrangères, ancien président de l’Institut du monde arabe et conseiller spécial à l'Ifri.
Guerre Israël-Hamas : Gaza livrée à l'indifférence internationale
Alors que l’ONU se désespère de ne pas voir émerger un consensus pour un cessez-le-feu, l’indignation exprimée par certains États à l’égard des pertes et dommages civils dans la bande de Gaza ne trouve pas d’écho concret.
L'Egypte à l'heure présidentielle
Quels sont les arguments d'Abdel Fattah Al-Sissi pour obtenir un troisième mandat lors de la présidentielle prévue en Égypte, ce 10 décembre 2023 ? La guerre entre Israël et le Hamas a permis au pays de retrouver un rôle sur la scène internationale. Le voilà à nouveau en première ligne.
L'Iran frappe Israël : le monde retient son souffle
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Repenser la politique française en Afrique
Dans cet épisode du podcast "Le monde selon l'Ifri", nous avons le plaisir de recevoir Alain Antil, directeur du Centre Afrique subsaharienne de l’Ifri. Spécialiste de la Mauritanie, Alain a élargi ses compétences au Sahel et même au-delà, en apportant une perspective riche et nuancée sur la politique française en Afrique.
Guerre Israël/Hamas : entretien avec l'historien et ancien ambassadeur Élie Barnavi
À l'occasion d'un déjeuner-débat présidé par Thierry de Montbrial le vendredi 22 mars 2024 au Cercle de l'Union Interalliée, l'Ifri a interrogé Élie Barnavi au sujet de la guerre d'Israël contre le Hamas à Gaza ainsi que sur l'avenir politique du pays, à l'heure où le leadership de Benyamin Netanyahou semble de plus en plus contesté.
Iran : quelles perspectives pour 2023 ?
Entre contestations sociales, inflation et augmentation de la pauvreté, quelles sont les perspectives pour l'Iran en 2023 ?
(Replay) Afrique du Nord et Moyen-Orient : Perspectives 2023
Captation vidéo de la conférence sur les perspectives en 2023 pour l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient, le 27 janvier 2023 à l'Ifri.
Le partenariat franco-hellénique : au-delà de la Méditerranée orientale.
Cette semaine, l'Ifri, en partenariat avec le CATS Network, publie une série de cinq vidéos sur les tensions en Méditerranées orientales vues par le prisme de la rivalité géopolitique entre la France et la Turquie.
La perception de l'armée turque et de l'expansion de la Turquie en Méditerranée orientale par l'armée française.
Cette semaine, l'Ifri, en partenariat avec le CATS Network, publie une série de cinq vidéos sur les tensions en Méditerranées orientales vues par le prisme de la rivalité géopolitique entre la France et la Turquie.
La construction de l'autonomie stratégie européenne face à la profondeur stratégique turque : le jeu diplomatique de Macron.
Cette semaine, l'Ifri, en partenariat avec le CATS Network, publie une série de cinq vidéos sur les tensions en Méditerranée orientale vues par le prisme de la rivalité géopolitique entre la France et la Turquie.
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L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.