Proche-Orient
Analyse des facteurs de crise au Proche-Orient, transformé par la guerre en Syrie et la persistance du conflit israélo-arabe, et où les enjeux de souveraineté et de frontières compliquent les problématiques humanitaires.
Iran et Israël : meilleurs ennemis
L’attaque de missiles iraniens sur le sol israélien le 13 avril 2024, suivie par une riposte d’Israël visant une base militaire proche d’un des principaux sites nucléaires iraniens, fut le point d’orgue d’une guerre multiforme qui oppose les deux pays depuis plusieurs décennies. Alors qu’Israël entretenait les meilleures relations, diplomatiques et même militaires, avec l’Iran du Shah Mohammad Reza Pahlavi, il est apparu très vite qu’il n’en serait pas de même avec la République islamique.
Populismes et relations internationales - Politique étrangère, vol. 89, n° 2, été 2024
Les populismes font florès, en Europe et ailleurs : en Argentine, peut-être demain à nouveau aux États-Unis… Que nous disent-ils de nos sociétés ? Et, s’ils arrivent au pouvoir, comment les modèlent-ils ? Leurs politiques économiques ont-elles quelques chances de succès ? Les politiques étrangères de leurs gouvernements influent-elles plus sur leur environnement, ou sur leurs propres sociétés ? Un « Trump 2 » au pouvoir à Washington serait-il totalement libre, et avec quels effets, de ses choix ?
La France a-t-elle encore une politique arabe ?
Dès la fin de la guerre d’Algérie, la France a systématiquement repris contact avec les pays arabes qui avaient rompu les relations diplomatiques au moment de la malheureuse expédition de Suez de 1956. Ainsi se sont renouées ou nouées des relations actives et souvent confiantes, y compris avec des pays où elle était absente, comme les émirats du Golfe. Le président Chirac a voulu formaliser et conforter cette orientation lorsque le 6 mars 1996, à l’université du Caire, il a évoqué la « politique arabe et méditerranéenne » de la France. Par-delà quelques principes communs, il s’agissait naturellement d’une politique à géométrie variable selon les pays, avec la volonté d’être présent dans cet ensemble de pays qui sont nos voisins proches, situés dans une zone stratégique et dont d’importantes communautés vivent en France. Très tôt attachée à contribuer à la paix entre Israël et les pays arabes, la France prône une politique équilibrée entre le maintien de la sécurité d’Israël et le soutien du processus de paix israélo-palestinien qui donnerait le droit à l’autodétermination des Palestiniens et à la création d’un État. À cet égard, l’année 2007 représente une rupture due à l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy qui sur ce plan, comme sur d’autres, a pris le contre-pied de son prédécesseur. Depuis lors, la politique de la France dans cette région n’a plus la même priorité, réagit plus qu’elle n’agit et semble flotter entre une volonté de maintenir ses liens avec les pays arabes et une certaine complaisance à l’égard d’Israël.
Turquie 2050 : Israël ; Irak ; participation des femmes
Repères sur la Turquie n° 19 - Le programme « Turquie 2050 » développe une analyse prospective sur les thèmes de la diplomatie, de la politique intérieure et de l’économie turques afin d’y anticiper les dynamiques des trente prochaines années.
Le monde au prisme de l'Ukraine - Politique étrangère, vol. 89, n° 1, printemps 2024
Trois dimensions d’une actualité conflictuelle brûlante pour ce numéro de Politique étrangère.
Le Sud contre l’Occident ?
2023 a vu se multiplier les forums amplifiant, de plus en plus, la voix d’un « Sud global ». Pour contradictoires et divisés qu’ils soient, ces forums (Brics+, OCS, G20, groupe des 77, sommet des Nouvelles routes de la soie…) expriment de nouveaux rapports de force, et surtout de nouvelles diplomaties, refusant l’alignement sur les puissances hier dominantes et privilégiant les intérêts d’États. Un nouveau monde se dessine, aux contours mouvants, encore incertains.
Un regard palestinien sur les accords d'Oslo
L'accord d'Oslo de 1993 consistait en un énoncé des principes devant gouverner la mise en place d'une autonomie transitoire en Cisjordanie et à Gaza, et devait être suivi par des textes d'application.
Trente ans après les accords d’Oslo : une perspective israélienne
Les accords d'Oslo, signés en 1993, ont suscité de grands espoirs de paix au Proche-Orient.
Un « croissant chiite » en miettes ? L’évolution de l’influence régionale de l’Iran depuis 1979
Depuis son apparition en 2004, l’expression « croissant chiite » a rapidement gagné en popularité pour décrire l’influence iranienne au Moyen-Orient au travers des populations chiites. S’il permet certes de mieux comprendre l’importance du chiisme, autant comme religion que comme idéologie politique, en Irak ou au Liban, le terme ignore la diversité de cette influence, et sa fragilité grandissante. En effet, sur le plan stratégique, les milices chiites comme le Hezbollah ou l’organisation Badr apparaissent comme les principaux ciments de ce « croissant chiite », notamment pour constituer un corridor logistique de l’Iran à la Méditerranée. Cependant, les guerres successives contre Israël, les États-Unis ou Daech ont permis à ces milices de gagner en indépendance vis-à-vis de Téhéran, et remettent donc en question la pertinence du « croissant chiite ».
Archives inédites : le Crif face aux accords d’Oslo
À partir d'archives inexploitées du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (Crif), Marc Hecker et Samuel Ghiles-Meilhac reviennent sur l'histoire du processus d'Oslo, bientôt trente ans après la poignée de main historique entre Yithzak Rabin et Yasser Arafat et alors qu'une nouvelle escalade meurtrière a fait plus de 35 morts en cinq jours la semaine dernière.
Iran et Israël : meilleurs ennemis
L’attaque de missiles iraniens sur le sol israélien le 13 avril 2024, suivie par une riposte d’Israël visant une base militaire proche d’un des principaux sites nucléaires iraniens, fut le point d’orgue d’une guerre multiforme qui oppose les deux pays depuis plusieurs décennies. Alors qu’Israël entretenait les meilleures relations, diplomatiques et même militaires, avec l’Iran du Shah Mohammad Reza Pahlavi, il est apparu très vite qu’il n’en serait pas de même avec la République islamique.
Populismes et relations internationales - Politique étrangère, vol. 89, n° 2, été 2024
Les populismes font florès, en Europe et ailleurs : en Argentine, peut-être demain à nouveau aux États-Unis… Que nous disent-ils de nos sociétés ? Et, s’ils arrivent au pouvoir, comment les modèlent-ils ? Leurs politiques économiques ont-elles quelques chances de succès ? Les politiques étrangères de leurs gouvernements influent-elles plus sur leur environnement, ou sur leurs propres sociétés ? Un « Trump 2 » au pouvoir à Washington serait-il totalement libre, et avec quels effets, de ses choix ?
La France a-t-elle encore une politique arabe ?
Dès la fin de la guerre d’Algérie, la France a systématiquement repris contact avec les pays arabes qui avaient rompu les relations diplomatiques au moment de la malheureuse expédition de Suez de 1956. Ainsi se sont renouées ou nouées des relations actives et souvent confiantes, y compris avec des pays où elle était absente, comme les émirats du Golfe. Le président Chirac a voulu formaliser et conforter cette orientation lorsque le 6 mars 1996, à l’université du Caire, il a évoqué la « politique arabe et méditerranéenne » de la France. Par-delà quelques principes communs, il s’agissait naturellement d’une politique à géométrie variable selon les pays, avec la volonté d’être présent dans cet ensemble de pays qui sont nos voisins proches, situés dans une zone stratégique et dont d’importantes communautés vivent en France. Très tôt attachée à contribuer à la paix entre Israël et les pays arabes, la France prône une politique équilibrée entre le maintien de la sécurité d’Israël et le soutien du processus de paix israélo-palestinien qui donnerait le droit à l’autodétermination des Palestiniens et à la création d’un État. À cet égard, l’année 2007 représente une rupture due à l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy qui sur ce plan, comme sur d’autres, a pris le contre-pied de son prédécesseur. Depuis lors, la politique de la France dans cette région n’a plus la même priorité, réagit plus qu’elle n’agit et semble flotter entre une volonté de maintenir ses liens avec les pays arabes et une certaine complaisance à l’égard d’Israël.
Turquie 2050 : Israël ; Irak ; participation des femmes
Repères sur la Turquie n° 19 - Le programme « Turquie 2050 » développe une analyse prospective sur les thèmes de la diplomatie, de la politique intérieure et de l’économie turques afin d’y anticiper les dynamiques des trente prochaines années.
Le monde au prisme de l'Ukraine - Politique étrangère, vol. 89, n° 1, printemps 2024
Trois dimensions d’une actualité conflictuelle brûlante pour ce numéro de Politique étrangère.
Le Sud contre l’Occident ?
2023 a vu se multiplier les forums amplifiant, de plus en plus, la voix d’un « Sud global ». Pour contradictoires et divisés qu’ils soient, ces forums (Brics+, OCS, G20, groupe des 77, sommet des Nouvelles routes de la soie…) expriment de nouveaux rapports de force, et surtout de nouvelles diplomaties, refusant l’alignement sur les puissances hier dominantes et privilégiant les intérêts d’États. Un nouveau monde se dessine, aux contours mouvants, encore incertains.
Un regard palestinien sur les accords d'Oslo
L'accord d'Oslo de 1993 consistait en un énoncé des principes devant gouverner la mise en place d'une autonomie transitoire en Cisjordanie et à Gaza, et devait être suivi par des textes d'application.
Trente ans après les accords d’Oslo : une perspective israélienne
Les accords d'Oslo, signés en 1993, ont suscité de grands espoirs de paix au Proche-Orient.
Archives inédites : le Crif face aux accords d’Oslo
À partir d'archives inexploitées du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (Crif), Marc Hecker et Samuel Ghiles-Meilhac reviennent sur l'histoire du processus d'Oslo, bientôt trente ans après la poignée de main historique entre Yithzak Rabin et Yasser Arafat et alors qu'une nouvelle escalade meurtrière a fait plus de 35 morts en cinq jours la semaine dernière.
La méthode turque en Méditerranée : l'emprise sur Chypre-Nord
Le 20 juillet 2021, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a célébré avec son homologue chypriote turc Ersin Tatar le 47ème anniversaire de l’intervention militaire turque à Chypre Nord. Cette cérémonie acte le réinvestissement stratégique du dossier chypriote par la Turquie.
Syrie : une victoire israélienne ?
En Syrie, les Druzes ont récupéré la gestion de la sécurité à Soueïda, la ville où les violences ont fait des centaines de morts depuis dimanche. Dernier épisode d'un cycle de violence qui dure depuis dimanche dernier. En cinq jours, plus de 500 personnes ont été tuées dans les affrontements.
Un Moyen-Orient en recomposition
Au programme du Grand Live du Dessous des Cartes : les Etats-Unis de Trump, le pouvoir de nuisance de Poutine, le réveil des Européens, le Moyen-Orient, et un grand entretien autour de la Chine de Xi Jinping, avec 12 chercheur.e.s invité.e.s dans nos bureaux transformés en atelier de géopolitique à ciel ouvert.
Des impacts planétaires
Une recomposition des rapports de force. Nous sommes dans un moment d’enchevêtrement des conflits qui rend leur lecture de plus en plus complexe. Ce qui est certain, c’est que les « douze jours » qui viennent de se passer ont profondément modifié les rapports de force. Il est difficile d’analyser à chaud les bouleversements que cette intervention produira au Moyen-Orient mais nul doute que les effets des opérations américaines, « Midnight Hammer », et israélienne « Rising Lion » se feront sentir à une échelle bien plus large.
Le Moyen-Orient en feu
Un dialogue entre Loulouwa Al-Rachid, spécialiste du Moyen-Orient et de l'Irak et Dorothée Schmid, responsable du programme Turquie et Moyen-Orient à l'Ifri.
Thomas Gomart : « Donald Trump réaffirme la centralité stratégique des Etats-Unis »
En bombardant l’Iran dans le sillage d’Israël, le président américain opère une démonstration de force à l’adresse de la Chine et de la Russie, explique, dans un entretien au « Monde », le directeur de l’Ifri.
Entre Iran et Israël, le casse-tête chinois
L'Iran a été attaqué par Israël, puis par les États-Unis. La réaction de ses alliés, la Chine au premier chef, n'a pas été une promesse de soutien manifeste.
« On a perdu toute traçabilité sur le programme nucléaire iranien »
ENTRETIEN. La chercheuse Héloïse Fayet estime que les frappes israéliennes et américaines ont ralenti les activités atomiques de l’Iran mais que celles-ci échappent désormais au contrôle international.
La Russie sort-elle renforcée de la guerre israélo-iranienne ?
Alors que Téhéran vient d’annoncer la fin de la « guerre des douze jours » qui l’a opposé à Israël et aux États-Unis, nous vous proposons un entretien avec le politologue Clément Therme, chercheur associé au programme Turquie/Moyen-Orient de l'Ifri et spécialiste de l’Iran et, notamment, de ses relations avec la Russie, afin de comprendre l’impact que la déflagration que vient de subir le Moyen-Orient a eu sur Moscou, allié « stratégique » de la République islamique.
« Le Moyen-Orient redoute surtout que le chaos s'installe en Iran »
ENTRETIEN. Comment les rivaux de l'Iran perçoivent-ils l'affaiblissement du régime des mollahs ? Les réponses de Denis Bauchard, conseiller au Programme Turquie/Moyen-Orient de l'Ifri et ancien ambassadeur en Jordanie.
« La stratégie de dissuasion iranienne a échoué à prévenir une offensive »
Si les destructions occasionnées par les frappes américaines et israéliennes ralentiront sans doute le programme nucléaire iranien, il n’est cependant pas anéanti, estime, dans une tribune au « Monde », Héloïse Fayet. Elle évalue les options qui s’offrent désormais à Téhéran, mais aussi les conséquences mondiales en matière de prolifération nucléaire.
Guerre des douze jours Israël-Iran : les premiers enseignements stratégiques
Audition d'Élie Tenenbaum, directeur du Centre des études de sécurité de l’Ifri, et d'Héloïse Fayet, responsable du programme de recherche « Dissuasion et prolifération » au Centre des études de sécurité de l’Ifri, sur les premiers enseignements stratégiques de la crise iranienne, par la Commission de la Défense nationale et des Forces armées de l'Assemblée nationale.
Trump, Poutine, Netanyahou… : la raison du plus fort est toujours la meilleure ?
Donald Trump, Benyamin Nétanyahou, Vladimir Poutine : ces hommes forts défient le système international et les règles qui ont été érigées après la Seconde Guerre mondiale. Assiste-t-on ces dernières années au retour de la force ? Qui est responsable ? Est-ce la fin du multilatéralisme ?
Dorothée Schmid : "Cette guerre a montré que le régime iranien a très peu d'amis"
Un cessez le feu est en cours entre l'Iran et Israël, et pourtant, l'incertitude est toujours aussi grande. Quels bouleversements cette guerre de douze jours a-t-elle entrainés ? La région est elle plus sûre ?
LE TALK : Iran, le grand saut dans l'inconnu ?
Dans le Talk de franceinfo du mercredi 25 juin sur Twitch et TikTok, la situation en Iran après les bombardements américains et le cessez-le-feu avec Israël, puis l'échec du conclave sur les retraites.
Quelles conséquences des frappes iraniennes sur les bases militaires américaines au Qatar ?
Hier soir, l’Iran a attaqué des bases militaires américaines au Qatar, en représailles aux frappes de dimanche soir. Jusqu’à présent, les relations entre Doha et Téhéran étaient plutôt cordiales, au vu d’une diplomatie d’équilibriste menée par le Qatar dans la région.
Conflit Iran/États-Unis : l'Iran a-t-il déjà perdu ?
Les États-Unis ont frappé les sites nucléaires iraniens aux côtés d’Israël. Trump salue une opération décisive, Téhéran parle de crime et promet une riposte. Un nouveau seuil est franchi.
L'armée israélienne frappe le site nucléaire de Fordo en Iran
L'armée israélienne a annoncé lundi avoir mené des frappes pour "bloquer les voies d'accès" au centre d'enrichissement d'uranium souterrain iranien de Fordo, au 11e jour de la guerre entre Israël et l'Iran. L'analyse d'Heloïse Fayet, chercheuse au Centre des études de sécurité de l'Ifri.
Thomas Gomart : « Les détroits sont des points névralgiques du commerce international »
Rémi Godeau, rédacteur en chef de l’Opinion, reçoit Thomas Gomart, directeur de l’Institut français des relations internationales (Ifri), à l'occasion de la 16e édition de ParisMat à la Maison de la chimie.
Frappes américaines en Iran: quelles conséquences géopolitiques aux USA et au Moyen-Orient? Interview d'Héloïse Fayet
Interview d'Héloïse Fayet, chercheuse au Centre des études de sécurité et responsable du programme de recherche Dissuasion et prolifération à l'Institut français des relations internationales, spécialiste du nucléaire iranien.
Bombe atomique : « Si les Iraniens avaient encore besoin d'une motivation, les États-Unis viennent de la leur donner »
Les États-Unis ont bombardé, ce dimanche 22 juin, trois sites nucléaires clés en Iran, rejoignant ainsi l'offensive lancée par Israël le 13 juin. Héloïse Fayet, responsable du programme de recherche « dissuasion et prolifération » au Centre d'études de sécurité de l'Institut français des relations internationales (Ifri) analyse ce nouveau tournant dans la guerre.
Israël-Iran : la marche vers la guerre
Une semaine après le début des frappes israéliennes sur l’Iran, le Collimateur fait le point sur le passif entre les deux pays et sur les perspectives pour le conflit en cours, avec Farid Vahid (Fondation Jean Jaurès) et Amélie Férey (IFRI).
Replay - Guerre Israël / Iran : premiers enseignements
(Replay de la visioconférence du 19 juin 2025.) Dans la nuit du 12 au 13 juin 2025, l’armée israélienne a opéré de nombreuses frappes sur l’Iran, touchant le programme nucléaire de ce pays et éliminant d’importants responsables sécuritaires.
Iran / Israël : de l’escalade à la guerre ouverte ?
Vendredi, Israël a lancé son opération « Rising Lion », une attaque massive sur des sites nucléaires iraniens, neutralisant toute une partie de son état major. Des pertes lourdes pour l’Iran, qui a répliqué par des tirs de missiles. Assistons-nous aux premiers jours d’une guerre ouverte ?
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.